Ayem Nour : coincée au Maroc avec son fils à cause de son ex-mari, elle s’exprime

Ayem Nour : elle s’exprime sur sa relation avec le père de son fils

Depuis plusieurs semaines, Ayem Nour se bat contre son ex. Ce dernier l’a accusé d’avoir kidnappé leur fils avant de l’empêcher de rentrer en France avec lui, en refusant de rendre son passeport. Cette situation inattendue a donné lieu à des révélations inédites de la part de l’ancienne candidate de Secret Story.

Sur ses réseaux sociaux, Ayem Nour accuse littéralement son ex de la séquestrée elle et son fils. Par ailleurs, elle affirme avoir été victime de violence conjugale.

Après avoir posté une photo de son coup marqué, la jeune femme explique : « Et non, il ne s’agit pas de simples griffures malheureusement… Il s’agit d’un étranglement de plusieurs secondes, avec volonté de me couper la respiration. Cet acte aurait pu être mortel ! Tout cela à notre domicile en présence de notre bébé âgé de questions mois… Le lendemain j’ai malgré tout pris l’antenne de mon émission, en masquant mes blessures avec une minerve. Afin de cacher la vérité et de couvrir ce montre une fois de plus… Une main courante, un certificat médical, ainsi que des échanges d’e-mail le prouvent… »

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Ayem Nour : sa situation au Maroc empire encore

Malheureusement, la situation serait loin de s’améliorer. Celle qui faisait des révélations sur leur relation raconte : « Des semaines que je patiente pour ce moment, ce jour de délivrance. Une audience a eu lieu afin que je puisse récupérer le passeport d’Ayvin et que nous puissions revenir chez nous en France. Mais également pour que le père s’explique sur ses agissements et que le consulat de France nous donne le motif quant au refus de délivrer un laisser passer. Mais les avocats de ces derniers n’étaient pas présents. Donc audience repoussée de deux semaines. On m’explique pourquoi ? » se désole Ayem, déjà au plus bas.

Puis elle adresse un message au Maroc : « Merci au Maroc qui a fait tout ce qu’il pouvait pour nous… Merci au Maroc d’avoir rendu justice en laissant Ayvin près de moi comme la décision de justice de la Cour d’Appel de Paris l’ordonne. Désormais, notre sort et notre retour sont entre les mains de la France. Où es-tu ma France ? »