« We were born, born to be alive… » Qui n’a jamais chanté ces paroles en tapant du pied sur une piste de danse, dans un mariage, ou en soirée ? Sorti en 1978, Born to be Alive fait partie de ces titres qu’on ne présente plus. Et s’il continue de faire lever les bras au ciel, il permet aussi à son créateur, Patrick Hernandez, de vivre une retraite très confortable.
Âgé de 76 ans, l’artiste vient de confier dans Ici Paris la somme qu’il touche grâce à ce seul morceau. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que 46 ans après sa sortie, le tube disco n’a rien perdu de sa puissance… ni de sa rentabilité. Retour sur un succès que personne ne voulait — sauf lui —, et qui aujourd’hui lui assure un pactole quotidien.
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Born to be Alive : un tube refusé… devenu planétaire
Avant de devenir culte, Born to be Alive a failli ne jamais voir le jour. Patrick Hernandez l’écrit en 1973, mais à l’époque, personne n’en veut. « Personne n’en voulait à l’époque. En 1975, après l’échec d’une version rock, on a dû s’exiler en Italie avec mes producteurs pour sortir le disque », explique-t-il.
C’est là, en Italie, que tout change. Le morceau cartonne, décroche un disque d’or, puis remonte jusqu’en Belgique, en France, et s’exporte rapidement à l’international. Le rythme disco, l’énergie communicative, et son refrain ultra-entêtant font mouche. Le titre devient un phénomène mondial. Aujourd’hui encore, il s’est écoulé à plus de 25 millions d’exemplaires. Une carrière entière tenue sur un seul morceau ? Peut-être. Mais quel morceau.
Plus qu’une chanson, une rente pour Patrick Hernandez
Qu’on l’entende à la radio, dans un club, lors d’un festival ou dans une pub télé, Born to be Alive est partout. Et ça rapporte. Beaucoup. « Oui, car elle est diffusée dans le monde entier et j’en suis propriétaire à 150 % en tant qu’auteur, compositeur, interprète, producteur et éditeur », assure Patrick Hernandez, lucide et pas peu fier. Selon Ici Paris, le morceau lui rapporterait jusqu’à 1500 euros par jour. Une somme impressionnante, surtout quand on sait que Born to be Alive continue aussi de briller côté pub :
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« Les droits voisins rapportent aussi. » Alors oui, Patrick Hernandez n’a pas enchaîné les tubes. Mais avec ce seul morceau, il a su capitaliser mieux que bien des artistes à la discographie longue comme le bras. Résultat : une chanson culte, une rente assurée et une légende disco qui traverse les générations sans prendre une ride. Born to be alive ? Born to be smart, aussi.