Nikola Lozina : évacué par la police, le match de son équipe de foot vire au cauchemar

Alors qu’ils nourrissaient l’espoir d’agrandir leur famille, Stéphanie Clerbois et Nikola Lozina ont été confrontés à un immense chagrin : la perte de leur bébé, après trois mois de grossesse. C’est Stéphanie qui a pris la parole la première : « Cette semaine a été particulièrement difficile pour moi, » a-t-elle confié, avant d’annoncer : « Lundi passé, en fin de journée, mon gynécologue m’annonçait que ma grossesse s’était arrêtée, que je faisais une fausse couche après 11 semaines. » En s’adressant à sa communauté, elle a souhaité briser un tabou douloureux : « Je sais aussi que vous êtes énormément de femmes à me suivre et en tant qu’influenceuse, je me sens responsable de vous montrer la réalité, même lorsque celle-ci est douloureuse. » 

Nikola, lui aussi profondément touché, a tenu à s’exprimer avec retenue. « Je n’ai pas trop envie de m’exprimer sur ce que je ressens actuellement, une douleur immense est en moi. Perdre un bébé, même si c’était qu’une toute petite chose, ça reste une perte et un moment difficile à passer dans une vie. » Tout en remerciant les personnes qui les soutiennent, il a insisté sur sa volonté de garder espoir : « La vie continue » et « plein de belles choses arrivent. » Tous deux ont choisi de prendre du recul par rapport aux réseaux sociaux pour se reconstruire, tout en restant soudés face à l’adversité.

Une complicité intacte malgré les épreuves

Quelques jours après ce drame, l’influenceuse a repris la parole pour remercier les nombreux messages de soutien reçus. Une manière d’avancer, doucement, tout en restant connectée à sa communauté. Et malgré la douleur, l’humour n’a pas disparu de leur quotidien. Dans une vidéo récente, la jeune femme a décidé de taquiner gentiment son compagnon, en partageant une anecdote aussi banale qu’amusante. « Aujourd’hui, j’affiche Niko parce qu’avec toutes les fois où il m’a affichée, aujourd’hui, il mérite vraiment d’être affiché. »

Elle raconte avoir été interrompue pendant son cours de pilates par un message pressant de Nikola Lozina : « Rappelle urgent ! Je rigole pas. » Inquiète, elle l’appelle immédiatement… pour découvrir que l’urgence concernait des épluchures de pomme et une banane trop mûre restées dans la cuisine. L’anecdote a déclenché de nombreuses réactions hilarantes de la part des internautes, certains allant jusqu’à commenter « Félicitations tu es officiellement maman une 3e fois » ou encore « Meuf t’as un 3e gosse t’as pas encore compris ? Courage à toi ». Une parenthèse de légèreté, preuve que l’amour et l’autodérision sont toujours présents, même après les tempêtes.

Nikola Lozina évacué d’un match de foot qui vire au drame

Ce week-end, Nikola Lozina a été mêlé à un incident lors d’un match opposant les P’tits Bleus aux Croates, à Liège. Rapidement, il a pris la parole sur ses réseaux sociaux pour s’expliquer sur la situation. « On va revenir sur le match d’hier et sur tous les incidents qu’il y a eu », commence-t-il, avant de préciser qu’il n’a jamais été adepte de la violence : « Je déteste la violence et je ne me suis jamais battu à 31 ans » Il explique qu’un geste mal interprété a mis le feu aux poudres : « Un supporter de chez nous a planté un drapeau dans le camp adverse » Ce drapeau aurait été retiré puis jeté, ce qui aurait provoqué une réaction vive chez certains : « Dans nos supporters, il y a des Croates qui sont très patriotes et quand tu touches à leur drapeau, y en a qui disjonctent. »

Selon lui, « au début c’était bon enfant », mais « à la fin du match ils sont allés les narguer », précisant toutefois qu’« ils ne les ont pas insultés car c’est une chose que je ne tolère pas. » Il raconte ensuite avoir été bloqué sur la pelouse avec d’autres supporters : « À la fin du match on a été bloqués sur la pelouse, et les policiers ont dit qu’ils ne pouvaient pas nous laisser accéder à la buvette, que c’était trop dangereux et qu’on devait rester là. » C’est alors que la situation a dégénéré davantage :

 Ils savaient plus comment m’atteindre… jusqu’à ce qu’il y en ait un qui a insulté mon fils.

Nikola, profondément atteint, reconnaît avoir perdu son calme : « J’ai vu rouge, j’ai voulu aller me le faire… » avant de conclure avec honnêteté : « Je ne suis pas fier d’avoir perdu mon sang-froid. » Enfin, il appelle à ne pas oublier l’essentiel : « Ça reste du sport mais je ne supporte pas qu’on s’attaque à un enfant de 4 ans. » Une mise au point claire, entre colère, émotion et appel au respect.