Miss France 2026 : Ève Gilles aura un rôle bien spécifique à jouer dans l’élection de samedi
Ève Gilles, Miss France 2024, joue un rôle clé dans la présélection de Miss France 2026, évaluant les candidates pour choisir les 12 demi-finalistes.
Résumé de l'article
Ève Gilles, Miss France 2024, joue un rôle clé dans la sélection des demi-finalistes de Miss France 2026, participant activement au jury de présélection et au processus décisionnel.
De retour de Thaïlande après sa participation remarquée à Miss Univers, Ève Gilles n’a pas eu le moindre répit. Miss France 2024 s’investit désormais dans les coulisses de l’élection Miss France 2026. Celle-ci sera diffusée ce samedi 6 décembre sur TF1, où son rôle s’annonce déterminant.
Car cette semaine marque un tournant crucial pour les 30 candidates en lice. Après un mois de préparation intense et un entraînement rythmé, elles ont affronté la redoutée présélection. Un moment décisif dont Ève Gilles est devenue l’une des protagonistes majeures, appelées à orienter le destin des futures demi-finalistes.
Ève Gilles, au cœur d’un jury Miss France décisif
Ce mercredi 3 décembre, la mécanique du concours Miss France 2026 a atteint un point stratégique : le jury de présélection, véritable grand oral du concours. C’est à Amiens, dans un lieu tenu secret, que les candidates se sont succédé pour défendre leur éloquence, leur personnalité et leur capacité à incarner le titre. L’objectif est clair : décrocher une place parmi les douze demi-finalistes. Dont la révélation des noms aura officiellement lieu samedi soir. Même si, en coulisses, l’essentiel du verdict est déjà scellé. Les prétendantes, après leurs semaines de répétitions et leur voyage de cohésion en Martinique, ont dû prouver en quelques minutes leur potentiel aux yeux d’un panel d’experts aguerri.
Autour de Frédéric Gilbert, président de la société Miss France et producteur du prime, se réunissaient Stéphane Jarny, directeur artistique du show, Fabien Provost, partenaire coiffure, un cadre de TF1, un représentant de la ville d’Amiens ainsi que deux membres de l’organisation Miss France. À leurs côtés, deux figures phares du concours : Marine Lorphelin, Miss France 2013, et Ève Gilles, Miss France 2024. Leur présence donne un poids particulier à cette étape. De fait, ce sont elles qui connaissent mieux que quiconque les exigences du titre. Ainsi que les qualités nécessaires pour porter la couronne. En participant à ces choix cruciaux, Ève Gilles devient ainsi un maillon central du processus de sélection. Elle apporte son regard neuf et son expérience fraîchement acquise sur la scène internationale.

Un rôle d’experte assumé par Ève Gilles
Loin d’être une simple observatrice, Ève Gilles a pleinement embrassé sa mission au sein du jury. Sur Instagram, elle a révélé une photo de son carnet de notes, soigneusement rempli durant les entretiens. Sans en dévoiler le contenu, elle laisse entrevoir la rigueur du travail préparatoire. À savoir, comptes rendus détaillés établis par les chaperonnes, évaluations quotidiennes. Et bien sûr les résultats du fameux test de culture générale. Une implication qui souligne sa volonté de contribuer activement à un processus souvent méconnu du grand public. Car derrière les paillettes du prime, les décisions se construisent sur des mois d’observation et d’échanges. Et si certains espéraient obtenir en avance les noms des demi-finalistes, Ève Gilles rappelle implicitement que seul un cercle extrêmement restreint détient la liste définitive. Il se compose notamment de Frédéric Gilbert et maître Simonin, l’huissier de l’émission.
Cette implication trouve un écho particulier dans la présence de Marine Lorphelin, ravie de retrouver ce rôle d’experte. Dans une story, elle partageait son enthousiasme. "On est là pour un moment vraiment très solennel et très sérieux, pour le jury de présélection de nos 12 [demi-]finalistes à Miss France. Comptez sur moi pour bien faire mon travail". Ce ton solennel illustre le niveau d’exigence imposé à cette étape clé, qui conditionne la qualité du show final. Pour Ève Gilles, encore portée par son top 30 à Miss Univers, cette participation est aussi un moyen de transmettre ce qu’elle vient elle-même de vivre. À savoir, l’intensité, la discipline et les critères irréprochables qui façonnent les grandes reines de beauté. En somme, samedi, elle ne sera pas seulement une spectatrice privilégiée. Mais l’une des architectes discrètes de l’édition 2026.
