Meghan Markle : elle annonce avoir eu des pensées suicidaires pendant sa 1ère grossesse

Meghan Markle et Harry s’entretiennent avec Oprah Winfrey

C’est l’une des interviews les plus attendues. Ce dimanche 7 mars, la chaîne CBS aux États-Unis diffusait l’entrevue exclusive de Meghan Markle et du prince Harry (bientôt sur Netflix) avec Oprah Winfrey. Avant même de débuter l’interview, le couple a annoncé à l’animatrice le sexe de leur deuxième enfant : une petite fille.

Durant tout l’entretien, l’actrice américaine est revenue en détail sur les trois dernières années de sa vie qu’elle a passée au sein de la famille royale. Une période très compliquée qui aurait pu mal finir. Meghan Markle aurait eu beaucoup de difficulté à s’intégrer dans cette nouvelle vie, ponctuée de protocoles et de soirées mondaines.

Au lendemain d’une soirée éprouvante au Royal Albert Hall, Meghan aurait d’ailleurs senti « ne plus vouloir être vivante. » Bien que honteuse, elle a cependant tenté de demander de l’aide auprès de l’institution par peur de faire une bêtise.

Meghan Markle a voulu mettre fin à ses jours durant sa grossesse

Durant l’interview, Meghan Markle évoque son quotidien compliqué et cette « pensée réelle et effrayante et constante. » Dans cette période sombre, l’actrice a pu compter néanmoins sur le soutien infaillible de son mari, le prince Harry. Alors enceinte de cinq mois, Meghan a eu besoin de quelques jours pour reprendre un peu du poil de la bête. « Je ne crois pas que tu sois en état de m’accompagner » lui aurait déclaré Harry avant de se rendre seul à une nouvelle soirée.

Oprah Winfrey lui demande si elle « pensait se faire du mal ou avoir des pensées suicidaires ». Meghan lui a répondu que « oui. »

Finalement, effrayée à l’idée de rester seule, Meghan Markle -dont la sœur a fini en fauteuil roulant – a fini par rejoindre son mari. « On sourit, on fait notre travail, mais on fait tout ce qu’on peut pour ne pas craquer. À chaque fois que les lumières s’éteignaient dans le box royal, je m’effondrais en larmes et lui, il me tenait la main, et puis les lumières se rallumaient, les regards étaient à nouveau sur nous et il fallait se recomposer un visage. »

À la suite de quoi elle s’est confiée à des assistants de la maison royale. « Ils ont dit qu’ils ne pouvaient rien faire pour moi. » Ils lui aurait simplement dit : « Vous n’êtes pas un membre rémunéré de l’institution« .