Mava Chou : son ex-mari s’expime pour la 1ère fois après sa mort

Mava Chou : elle aurait porté plainte contre son ex le jour de sa mort

La YouTubeuse Mava Chou compte parmi les victimes de cyberharcèlement (tout comme Mila, obligée de sortir de chez elle avec des conditions strictes). Cible d’une véritable campagne de ha*ne depuis sa séparation d’avec son ancien compagnon, la jeune femme avait confié ses difficultés dans une récente FAQ.

Malheureusement, sa meilleure amie a annoncé son décès sur sa page Facebook le 23 décembre dernier. Trois jours plus tard, son avocat, Me Stéphane Giuranna déclarait à l’AFP que Maëva et son partenaire avait déposé une plainte à l’encontre de son ex-mari le jour de sa mort « pour harcèlement moral et provocation au su*cide. »

Depuis, tous les regards sont tournés vers son ancien mari, Adrien. Ce dernier a décidé de s’exprimer pour la première fois depuis le décès de Mava Chou dans une vidéo YouTube de 3 minutes.

Mava Chou : son ex-mari réagit à sa mort dans une vidéo YouTube

« Nous faisons tout notre possible pour aider les enfants. Nous leur apportons tout le soutien qu’ils ont besoin dans ce moment difficile, et ce, dans le strict respect de la mémoire de leur maman et de l’amour qui leur est porté » a-t-il débuté, le visage grave face à sa caméra.

Puis, le père de famille a avoué se sentir très triste de la situation. « J’ai fait tout mon possible pour éviter aux enfants de vivre ce genre de situation. J’ai fait ce qui était en mon pouvoir pour alerter de la situation. Oui, je suis peiné. Oui, je suis touché. Malgré les conflits, l’animosité et le ressentiment, Maëva est et restera la maman de mes 4 enfants.« 

Adrien s’est ensuite adressé aux nombreux internautes qui depuis, s’en prennent violemment au couple : « Vous jugez, vous accusez, et bien pire encore sous couvert d’anonymat (…) calomnies, diffamation, insultes, menaces de m*rt, tout y passe (…) Depuis deux ans nous sommes confrontés à un harcèlement quotidien et massif que j’ai dénoncé à de nombreuses reprises. (…) Je ne laisserais pas les justiciers des réseaux sociaux (…) m’accuser moi, Laura, mes proches, mes amis de me*rtriers.« 

Et de conclure : « Je ne donnerais pas raison aux harceleurs qui continuent ce qu’ils ont commencé depuis plusieurs années. (…) Je protégerais nos enfants et je le ferais du mieux que je peux pour que leur maman soit fière des personnes qu’ils vont devenir. Maëva m’a confiée me faire confiance à ce sujet et j’honorerais sa parole.«