Iris Mittenaere victime de violences conjugales : ce qu’a dit son compagnon aux forces de l’ordre

Exit Diego El Glaoui, Iris Mittenaere pensait avoir trouvé du réconfort dans les bras de Bruno Pelat, un riche héritier. Hélas, le conte de fées s’est transformé en véritable cauchemar pour la jeune femme, dès lors que le milliardaire de 22 ans a levé la main sur elle. De ce fait, le mardi 24 septembre, l’ancienne Reine de Beauté a porté plainte contre ce dernier.

Quatre jours plus tard, le mis en cause n’était toujours pas libéré, attestant alors du fondement des accusations portées à son encontre. En effet, Bruno Pelat a fait l’objet d’une comparution immédiate. Ainsi, il est passé devant le tribunal ce vendredi 27 septembre. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les révélations faites au cours de cette audience sont loin d’arranger son cas.

Menaces, coups, antécédents judiciaires…

À l’occasion de cette comparution immédiate, quelques circonstances du drame ont été mises en lumière. Ainsi, on apprend que Bruno Pelat était sous l’emprise de cannabis lorsque la dispute du 23 septembre, dans laquelle il a blessé Iris Mittenaere, a éclaté. Outre le coup visible porté au poignet de la Miss cette nuit-là, le riche héritier ne se serait pas arrêté là.

En effet, il aurait également frappé la tête d’Iris Mittenaere contre un mur. De plus, nos confrères du Parisien confient qu’il n’aurait eu de cesse de la rabaisser, la menaçant de « lui faire perdre ses contrats » ou de « virer son père ». Et hélas, Brunot Pelat ne gagne pas à être connu. Pour cause, il aurait d’ores et déjà violenté d’anciennes compagnes à lui par le passé. Au vu de son historique peu glorieux, fort de quatre précédentes condamnations, le procureur a requis de la prison ferme.

Iris Mittenaere victime de violences conjugales : ce qu’a dit Bruno Pelat aux forces de l’ordre

Mais alors, qu’est-ce que Bruno Pelat peut-il avoir à dire pour sa défense ? Et bien justement, le vendredi 27 septembre, Le Parisien dévoile les premiers mots du jeune homme incriminé lors de sa comparution immédiate. Désolé, il s’est d’abord confondu en excuses lorsque les forces de l’ordre ont énoncé les graves accusations qui pèsent contre lui.

« Mon impulsivité est un problème », reconnait-il par la suite. Puis, il exprime à propos d’Iris Mittenaere : « Je ne vais plus entrer en contact avec elle. Je veux qu’elle soit heureuse. » De son côté, l’ancienne Miss Univers souhaite faire entendre sa voix, mais n’en a pas la force pour le moment. Le procès contre son ex-compagnon est donc renvoyé au 6 novembre 2024. D’ici là, nous espérons rééllement qu’Iris Mittenaere se portera mieux. Affaire à suivre.