Hinaupoko Devèze : on connaît le salaire mensuel de la nouvelle Miss France

Sacrée Miss France 2026 au Zénith d’Amiens le 6 décembre 2025 par Jean-Pierre Foucault, Hinaupoko Devèze voit son quotidien profondément évoluer. Apparitions télévisées, déplacements à travers l’Hexagone, interviews et séances photo composent désormais son agenda.

Âgée de 23 ans, la jeune femme d’origine tahitienne, déjà élue Miss Tahiti 2025, doit se consacrer pleinement aux obligations liées à son titre. Ces responsabilités sont encadrées par un contrat qui prévoit une rémunération mensuelle.

Un salaire comparable à celui d’un cadre supérieur

Selon les informations communiquées par le comité Miss France, Hinaupoko Devèze percevrait un salaire mensuel estimé entre 3 000 et 5 000 euros nets, soit environ 50 000 euros sur l’ensemble de son année de règne.Ces chiffres avaient été évoqués par Sylvie Tellier. En 2016, l’ancienne directrice générale du comité expliquait à L’Express que « quand on est élue Miss France, on ne croule pas sous les millions mais on gagne dans l’année l’équivalent d’un salaire de cadre supérieur »

En plus de cette rémunération, Hinaupoko Devèze bénéficie de plusieurs avantages liés à son statut. Comme sa prédécesseure Angélique Angarni-Filopon, elle dispose d’un appartement de fonction à Paris, situé dans le 17e arrondissement, à proximité de l’Arc de Triomphe. Elle bénéficie également de nombreux avantages fournis par les partenaires du concours, parmi lesquels une voiture, des bijoux, des produits de beauté, des robes de soirée et divers accessoires.

Les anciennes Miss évoquent leur rémunération

Hinaupoko Devèze ne s’est pas exprimée publiquement sur son salaire. En revanche, plusieurs anciennes Miss France ont déjà évoqué leur expérience financière. Interrogée par le média OnTime en juin 2025, Camille Cerf déclarait : « Franchement, on gagne bien sa vie. Je sais qu’il y a des Miss qui ont râlé, mais moi, j’étais très contente de mon salaire ».

Celle qui avait transmis sa couronne à Iris Mittenaere précisait également : « Je n'avais pas de loyer à payer. Tous les midis, je mangeais au restaurant. Je n'avais rien à payer donc c'était vraiment de l'argent de poche. Pour moi, c'était royal. »