Giulia Sarkozy, fille de l’ancien président Nicolas Sarkozy et de Carla Bruni, mène à 14 ans une vie déjà bien remplie. Passionnée d’équitation, elle partage ses entraînements sur les réseaux sociaux. Et elle accorde régulièrement des interviews, tout en jonglant avec le poids et les privilèges de son célèbre patronyme.
Récemment, dans les colonnes de Paris Match, l’adolescente s’est livrée avec sincérité sur son quotidien et surtout sur le lien étroit qu’elle entretient avec son père. Parmi leurs habitudes, un rendez-vous mensuel particulier tient une place précieuse : une course à pied en tête-à-tête, qu’elle qualifie avec tendresse de « moment privilégié ».
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Le rituel complice de Giulia Sarkozy avec son père
Lors de son entretien avec Paris Match, Giulia Sarkozy a évoqué avec beaucoup de tendresse ce temps qu’elle réserve chaque mois à son père. Malgré les agendas bien remplis et les responsabilités de chacun, ils prennent soin de se retrouver pour aller courir ensemble. « C’est notre moment à nous, un moment privilégié », confie-t-elle avec un large sourire. Ces instants sportifs deviennent de véritables bulles de complicité. Où le sport ouvre la voie à des discussions plus intimes, à des confidences que l’adolescence rend précieuses. Ce rituel témoigne d’une relation père-fille particulièrement soudée et attentive. Malgré la médiatisation permanente qui entoure leur famille.
Bien que Nicolas Sarkozy ne soit pas toujours physiquement présent à chaque compétition équestre, son soutien envers sa fille est indéfectible. Il lui a notamment offert sa jument, Valentine Dudelta, véritable partenaire dans ses compétitions de saut d’obstacles. « Papa fait tout pour m’aider à réaliser mes rêves », reconnaît Giulia avec reconnaissance. Et lorsqu’il ne peut être au bord de la carrière, Carla Bruni prend le relais, appareil photo à la main, fière de capturer les exploits de sa fille. Ensemble, les Sarkozy semblent former un trio uni. Le tout en équilibrant célébrité et vie de famille avec une affection palpable.
Grandir sous les projecteurs : une adolescence pas comme les autres
Si Giulia Sarkozy savoure pleinement ses passions et son quotidien rythmé, elle n’élude pas pour autant la pression qui accompagne son célèbre nom. « La notoriété de mes parents peut parfois être un poids », avoue-t-elle avec maturité. Très active sur les réseaux sociaux, elle partage sa passion de l’équitation avec plus de 35 000 abonnés. Giulia bénéficie même d’une community manager pour l’aider à gérer son image numérique. Une organisation professionnelle impressionnante pour une adolescente de 14 ans. Qui découvre en accéléré les joies et les pièges de la surexposition.
Cependant, la jeune cavalière garde la tête sur les épaules. Même lorsqu’elle s’est aventurée maladroitement sur des sujets sensibles. Comme lorsqu’elle a tenté de défendre son père sur TikTok dans l’affaire Khadafi, Giulia a su rebondir. « J’adore partager mon quotidien et échanger avec ma communauté, ce sont des gens adorables », insiste-t-elle. Elle démontre une certaine maturité face aux aléas de la célébrité. Si le nom Sarkozy attire l’attention, c’est avant tout grâce au soutien de ses parents que Giulia construit une adolescence équilibrée. Entre passion sportive, exposition médiatique et instants de complicité familiaux.