Garou : chanteur mais pas que, il se lance dans un tout autre business

Garou fait partie des grandes voix de la chanson francophone depuis la fin des années 1990. Révélé dans Notre-Dame de Paris, il n’a jamais quitté la scène et reste un artiste apprécié du public. À 53 ans, il a récemment dévoilé son onzième album, Un meilleur lendemain, enregistré dans une atmosphère amicale, et prépare déjà une tournée pour toute l’année 2026.

Mais la musique n’est pas la seule passion qui occupe sa vie. Depuis quelques années, l’artiste québécois s’est lancé dans d’autres projets. Des activités inattendues qui le ramènent à ses racines quebecoise et qui l’éloignent, le temps d’un instant, des feux de la rampe.

Garou : son refuge en pleine nature

Durant la période de la pandémie, Garou a acquis une vaste propriété au Québec. Cet endroit, situé en pleine forêt, lui a rappelé son enfance. Là-bas, il profite d’un environnement calme et authentique, loin de l’agitation des villes et du rythme imposé par sa carrière. Il y passe de longs moments, que ce soit pour écrire de la musique ou simplement se ressourcer.

Garou a entrepris de restaurer une ancienne grange. L’édifice a été transformé en studio d’enregistrement, un lieu qui lui permet de continuer à créer tout en restant dans son refuge québécois. Il y a même tourné le clip de You Can’t Hurry Love. Lorsque la grange n’accueille pas ses projets musicaux, elle se transforme en espace de convivialité. Garou y réunit ses amis, confirmant son goût pour les moments partagés. Mais le chanteur a également choisi de développer d’autres compétences. Parmi elles, une activité artisanale qui lui tient à cœur : la récupération de bois anciens. En créant sa propre compagnie, il s’est découvert un nouvel intérêt pour ce travail manuel.

La passion du sirop d’érable

En parallèle, Garou nourrit une autre ambition, directement liée aux traditions québécoises : produire son propre sirop d’érable. Sur son terrain, il a entrepris la construction d’une cabane à sucre, lieu incontournable pour transformer la sève récoltée au printemps. Depuis plusieurs années, il évoque son impatience de se lancer pleinement dans cette activité d’acériculteur.

Il explique d’ailleurs combien il aime commencer ses journées très tôt pour rejoindre la forêt. Entre balades en motoneige, entretien des pistes et coupe d’arbres, il trouve dans ce quotidien simple un bonheur qu’il ne cache pas. Cette proximité avec la nature est devenue une véritable bouffée d’air frais dans sa vie.