Décès de Kelly Mack (The Walking Dead) : mise en lumière sur ses derniers jours

Connue pour son rôle marquant dans la neuvième saison de The Walking Dead, Kelly Mack s’est éteinte le 2 août à seulement 33 ans. Diagnostiquée quelques mois plus tôt d’une tumeur cérébrale rare, l’actrice pensait avoir surmonté l’épreuve… avant qu’une rechute brutale ne vienne bouleverser ce fragile espoir. Son décès a été un choc dans le monde du cinéma et parmi ses proches, tant elle semblait aller mieux.

C’est un cancer du cerveau de type glioblastome qui aura finalement emporté Kelly Mack. Une tumeur d’une extrême agressivité, capable de récidiver violemment, même après une apparente rémission. Alors qu’elle auditionnait encore en juin pour des rôles engagés, sa santé s’est dégradée en quelques jours. Hospitalisée début juillet, elle s’est éteinte un mois plus tard, entourée de sa mère et de sa tante.

Une rechute inattendue après un semblant de répit pour Kelly Mack

Kelly Mack avait surpris son entourage par sa force de caractère et sa détermination à reprendre le cours de sa vie. Après avoir été diagnostiquée en fin d’année précédente d’un gliome, plus précisément d’un glioblastome multiforme, une forme particulièrement agressive de cancer cérébral, l’actrice avait entamé un protocole de soins intensif. Contre toute attente, les traitements semblaient porter leurs fruits. Selon une source proche, elle avait même été déclarée en rémission au printemps. « Elle travaillait sur des doublages il y a un mois », a confié un proche à TMZ, évoquant son retour discret mais déterminé dans le monde du travail.

Engagée, Kelly Mack souhaitait utiliser sa notoriété pour faire avancer les représentations des personnes en situation de handicap à l’écran. Elle-même contrainte de se déplacer en fauteuil roulant depuis le début de sa maladie, elle avait auditionné en juin pour des rôles qu’elle jugeait essentiels. Défendant avec force les valeurs d’inclusion. Sa résilience inspirait. D’autant plus qu’elle avait su conserver une forme de légèreté malgré la gravité de son état. Malheureusement, début juillet, tout bascule. La tumeur refait surface, plus virulente que jamais. Elle est contrainte de tout arrêter à nouveau. Annonçant à son manager qu’elle devait s’absenter « quelques semaines ».

Un combat discret contre un mal implacable

Personne n’imaginait alors qu’elle vivait ses derniers instants. Tout commence à l’automne précédent, lorsque Kelly ressent de vives douleurs au bas du dos et dans les jambes. Inquiète, elle consulte. Le diagnostic tombe quelques semaines plus tard. Il s’agit d’un astrocytome, un type de tumeur cérébrale appartenant à la famille des gliomes. Si certaines formes sont bénignes, celle dont souffre Kelly est un glioblastome multiforme de stade IV. Ce type de tumeur est réputé pour sa croissance rapide et sa résistance aux traitements. Incurable à ce jour, il laisse peu de répit à ceux qu’il frappe.

La médiane de survie après diagnostic est de quinze mois… Kelly n’aura tenu que neuf. L’annonce de son décès a profondément bouleversé ses proches. Une cérémonie d’adieu est prévue le 16 août à Glendale, dans l’Ohio, là où elle a grandi. Elle laisse derrière elle ses deux parents, Kristen et Lindsay, sa sœur Katherine, son frère Parker, ainsi que deux grands-parents toujours en vie, Loïs et Larry. Son compagnon, Logan Lanier, partage également la douleur d’un deuil précoce et injuste. La trajectoire de Kelly Mack, brisée en pleine ascension, laisse un vide immense dans le cœur de ses fans, et un message poignant sur la fragilité de la vie.