Brigitte Macron traverse une période de grande tristesse. À peine remise de la disparition de sa sœur Anne-Marie début juillet, la Première dame doit affronter un nouveau deuil : celui de sa nièce, Christine, décédée le 19 juillet à l’âge de 68 ans. Cette série d’épreuves bouleverse profondément la benjamine de la fratrie Trogneux, soutenue dans cette période par son entourage proche.
Christine Hacquin, fille d’Anne-Marie, luttait depuis longtemps contre une maladie. Suivie médicalement en région parisienne, elle a pu compter sur la présence attentive de sa tante dans ses derniers instants. Brigitte Macron, fidèle à ses liens familiaux, s’est tenue à ses côtés comme elle l’avait fait pour sa sœur. Une cérémonie religieuse en hommage à Christine est prévue dans les prochains jours dans l’Oise.
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Un nouveau drame familial en pleine période de deuil
Le 2 juillet dernier, Brigitte Macron perdait sa sœur aînée Anne-Marie, disparue dans son sommeil à l’âge de 92 ans. Profondément marquée par cette perte, elle s’était rendue à Amiens le 15 juillet pour les obsèques, entourée du président Emmanuel Macron. Leur présence discrète mais symbolique avait souligné l’importance des liens familiaux qui unissent le couple présidentiel. À peine quelques jours plus tard, la Première dame est frappée à nouveau par un drame tout aussi intime.
Le décès de Christine Hacquin, survenu le 19 juillet, résonne comme un coup dur supplémentaire. À 68 ans, cette dernière souffrait depuis plusieurs années d’une longue maladie. Brigitte Macron s’était de nouveau montrée présente, soutenant sa nièce dans ses derniers moments. Un geste fort qui témoigne d’une solidarité familiale inébranlable. Elle avait d’ailleurs récemment été aperçue vêtue de noir, lors des funérailles de Thierry Ardisson, signe d’un deuil qu’elle portait déjà en silence.
Une série de pertes douloureuses dans la vie de Brigitte Macron
Brigitte Macron, benjamine d’une fratrie de six enfants, n’est pas étrangère à la douleur des séparations. Avant la disparition d’Anne-Marie et de Christine, elle avait déjà connu la perte de son frère Jean-Claude en 2018. Bien plus tôt, en 1961, un drame l’avait frappée de plein fouet. La mort brutale de sa sœur Maryvonne, âgée de seulement 27 ans, dans un accident de voiture. Des chocs familiaux qui ont sans doute forgé la résilience de celle qui partage aujourd’hui la vie du président de la République.
Parmi ses frères et sœurs, seuls Monique et Jean-Michel sont encore en vie. Anne-Marie, l’aînée disparue en juillet, avait toujours gardé une certaine discrétion malgré les projecteurs braqués sur sa cadette. Mariée à un acteur influent du secteur sanitaire, elle était respectée dans son domaine, bien qu’éloignée de la sphère publique. Sa fille Christine, désormais disparue elle aussi, avait suivi une autre voie, loin des médias. Ces deux pertes rapprochées rappellent que, derrière son rôle officiel, Brigitte Macron traverse aussi des douleurs profondes, bien loin de l’image publique qu’elle renvoie.