Aya Nakamura : Mathieu Kassovitz, 56 ans, donne son avis bien tranché sur la chanteuse

Depuis plusieurs semaines, Mathieu Kassovitz est au cœur d’une vive polémique liée à ses propos controversés sur les « Français de souche ». Une phrase jugée violente par de nombreux observateurs : « une fin de race », avait-il lancé, provoquant une avalanche de réactions dans les sphères médiatiques et politiques. Le réalisateur de La Haine, habitué aux déclarations sans filtre, a rapidement été sommé de s’expliquer.

Face à l’ampleur du tollé, l’acteur de 56 ans a tenté de rectifier le tir dans une vidéo où il présente ses excuses, accusant un montage partial de ses propos diffusés sur les réseaux sociaux. « Je m’en excuse », déclare-t-il, tout en rappelant qu’il parlait dans un ton léger et mal retranscrit. Pourtant, loin de se calmer, la tempête médiatique a continué, alimentée cette fois par une autre sortie médiatique : son opinion sur Aya Nakamura.

Un avis tranché et sans détour sur Aya Nakamura

Mathieu Kassovitz ne s’est pas contenté d’une réponse vague lorsqu’il a été interrogé sur Aya Nakamura. Sur RMC, il s’est montré critique mais nuancé, dans un style bien à lui. « Si elle fait ses chansons à elle, c’est super », a-t-il d’abord déclaré, reconnaissant le succès populaire de l’artiste. Cependant, l’acteur a exprimé un certain scepticisme quant à ses capacités vocales en dehors du cadre numérique : « Je ne l’ai jamais entendue chanter sans vocodeur ou sans ordinateur derrière elle… », a-t-il souligné. Une déclaration qui a immédiatement enflammé les réseaux, certains y voyant une attaque gratuite, d’autres un avis artistique légitime.

En réalité, Mathieu Kassovitz semble exprimer une exigence plus qu’un rejet : « Si tout d’un coup elle nous sort un ‘Noooon, rien de rien’ et qu’on tombe tous à genoux… C’est la nouvelle Marianne ! », a-t-il ironisé. Il ne nie pas le talent d’Aya Nakamura dans son registre, mais il attend d’elle une performance à la hauteur du patrimoine musical français, comme une reprise d’Édith Piaf à la hauteur de l’originale. Derrière cette provocation apparente, se dessine une forme de respect exigeant : une attente sincère d’une preuve de grandeur vocale. En somme, l’acteur attend une confirmation artistique, sans artifice.

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#MathieuKassovitz critique #AyaNakamura pour sa prestation aux #JO Lors de la cérémonie d’ouverture des JeuxOlympiques, le réalisateur français Mathieu Kassovitz a exprimé des remarques cinglantes à l’égard de la chanteuse Aya Nakamura. En comparant son style à celui d’ÉdithPiaf, Kassovitz a souligné le contraste entre une chanteuse « seule face au micro » et Nakamura, qu’il n’a jamais entendue chanter sans l’aide d’un vocodeur. Les commentaires de Kassovitz ont suscité des réactions mitigées sur les réseaux sociaux, certains soutenant ses critiques tandis que d’autres les trouvaient injustes. Certains ont souligné les différences de style et de genre musical entre les deux artistes, tandis que d’autres ont remis en question la pertinence de comparer des artistes de différentes époques et cultures. Aya Nakamura, connue pour son style unique mêlant musique pop, R&B et afrobeat, n’a pas réagi publiquement aux commentaires de Kassovitz. Cependant, sa prestation aux JO a continué à susciter des discussions passionnées sur la diversité artistique et les normes de performance dans l’industrie musicale.

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Un regard sur la musique… et sur les femmes

Ce n’est pas la première fois que Mathieu Kassovitz se prononce sur des figures féminines dans le monde culturel. Concernant Aya Nakamura, il tient à clarifier sa position : « Je voudrais juste entendre une chanson où elle chante normalement quoi ! Mais j’adore ce qu’elle fait. Dans son domaine, je kiffe, ‘la pookie dans le sas’, il n’y a aucun problème ! », a-t-il affirmé. Ce mélange d’admiration et d’attente critique a troublé certains auditeurs, qui y voient une forme de condescendance. D’autres, au contraire, saluent sa franchise et son attachement à une certaine vision de l’excellence artistique.

Ironie du sort, Aya Nakamura a offert une prestation saluée par la critique et le public mondial : une reprise poignante de For me formidable de Charles Aznavour, accompagnée par la Garde Républicaine. Ce moment intense, diffusé en prime time, a permis à la chanteuse de démontrer toute l’étendue de sa voix, sans autotune ni effets numériques. Beaucoup y ont vu une réponse élégante et puissante aux critiques. Et si Mathieu Kassovitz attendait un frisson, peut-être l’a-t-il trouvé ce soir-là. Mais il ne l’a pas encore dit publiquement. Ce silence, en soi, vaut peut-être plus que mille commentaires.

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🎤 Mathieu Kassovitz valide le choix d’#AyaNakamura pour chanter lors de l’ouverture des #JO2024 mais prefererait qu’elle chante un de ses titres plutôt que du Edith Piaf #paris2024 #edithpiaf

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