Aya Nakamura aurait bien pu ne jamais chanter aux JO 2024, l’entourage de Brigitte Macron étant possiblement impliqué

Aya Nakamura a failli être écartée de la cérémonie d’ouverture des JO 2024, l’entourage de Brigitte Macron ayant tenté d’imposer Gims. La polémique a finalement joué en sa faveur.

Publié le par Lola Olivier
Aya Nakamura aurait bien pu ne jamais chanter aux JO 2024, l’entourage de Brigitte Macron étant possiblement impliqué
© NHAC NGUYEN / POOL / AFP

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Aya Nakamura a finalement chanté aux JO 2024 après des tensions en coulisses impliquant l’entourage de Brigitte Macron et un choix artistique contesté.

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Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, Aya Nakamura a marqué les esprits en interprétant Djadja accompagnée de la Garde Républicaine. Une scène devenue emblématique, symbole d’une France diverse et moderne. Pourtant, cette apparition historique aurait bien pu ne jamais avoir lieu.

Plus d’un an après la fin des JO, des révélations laissent entendre que des tensions auraient agité les coulisses de l’Élysée. Selon certaines sources, l’entourage de Brigitte Macron aurait tenté d’écarter la chanteuse de la cérémonie. Une intrigue où se mêlent enjeux d’image, querelles d’influence et calculs politiques, révélant les dessous d’un choix artistique hautement symbolique.

Gims, le favori écarté par l’équipe artistique

Selon le livre L’Empire, paru chez Flammarion, Gims aurait été le premier artiste pressenti pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture. Proche d’Hélène Mercier-Arnault, l’épouse du patron de LVMH, et réputé apprécié de Brigitte Macron, le chanteur semblait cocher toutes les cases du “candidat idéal” pour le clan présidentiel. Mais le directeur artistique des Jeux, Thomas Jolly, souhaitait une figure féminine, internationale et ancrée dans la culture populaire contemporaine. Aya Nakamura s’est alors imposée comme une évidence.

Ce choix audacieux n’aurait pourtant pas fait l’unanimité à l’Élysée. D’après plusieurs témoignages, certains membres de l’entourage de la Première dame auraient jugé l’artiste “trop clivante” et “pas assez institutionnelle”. Pour freiner le projet, une fuite dans la presse aurait même été orchestrée, annonçant qu’“Aya Nakamura chanterait Édith Piaf”. La phrase a suffi à déclencher une tempête médiatique. Dès lors, l’extrême droite, avec Éric Zemmour, Marion Maréchal et Marine Le Pen en tête, a dénoncé un “affront à l’identité française”. L’affaire a alors pris une dimension politique inattendue, plaçant l’Élysée dans une position délicate.

Une polémique qui a tourné à l’avantage d’Aya Nakamura

Ironie du sort, la polémique censée l’écarter aurait fini par solidifier la place d’Aya Nakamura. À force d’être au cœur du débat public, sa participation est devenue inévitable. L’équipe présidentielle aurait compris qu’un retrait serait perçu comme une capitulation face aux pressions politiques. Le couple Macron aurait donc validé sa présence, transformant une controverse en message d’ouverture et d’unité.

Le 26 juillet 2024, la chanteuse est montée sur scène et a livré une prestation saluée par la critique et le public du monde entier. Emmanuel Macron aurait ensuite publié une photo à ses côtés sur X, symbole d’un soutien assumé. Brigitte Macron, quant à elle, aurait poursuivi le contact avec l’artiste, l’invitant même à participer à l’opération Pièces Jaunes 2025. Un épilogue inattendu pour celle qui, quelques mois plus tôt, risquait d’être écartée. Aya Nakamura est devenue, malgré les résistances, l’une des figures les plus marquantes des Jeux Olympiques de Paris.

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