Affaire Miss Provence et Miss Aquitaine : l'explication derrière les insultes proférées par Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete 

Alors que le scandale concernant le concours Miss France 2026 ne semble pas se calmer, de nouvelles explications viennent de s'ajouter.

Publié le par Sophie Vollet
Affaire Miss Provence et Miss Aquitaine : l'explication derrière les insultes proférées par Julie Zitouni et Ainhoa Lahitete 
© Instagram @juliezitouni @ainhoa_lahitete

Résumé de l'article

Miss Provence et Miss Aquitaine ont été exclues suite à une vidéo insultante, révélant des tensions internes liées à des accusations de grossophobie au concours Miss France.

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Le règne d’Hinaupoko Devèze n’a même pas eu le temps de démarrer que déjà, la tempête gronde. À peine descendue de scène, auréolée de son titre de Miss France 2026 et portée par l’enthousiasme du public, la jeune Tahitienne doit affronter une polémique d’une ampleur rare : l’exclusion immédiate de Miss Provence et Miss Aquitaine, au cœur d’une vidéo insultante qui a sidéré les internautes.

En quelques heures, le conte de fées s’est teinté d’un parfum de scandale. Et tandis que les réseaux s’embrasent, Hinaupoko, elle, avance avec retenue, bien décidée à ne pas laisser une crise interne écraser les premières heures d’un règne qu’elle veut placer sous le signe de l’apaisement et de la santé mentale.

Destitution express : un scandale qui secoue le concours Miss France

La sanction est tombée en quelques heures. Le 9 décembre, les comités Provence et Aquitaine ont annoncé la destitution de leurs Miss après la diffusion d'une vidéo où Julie Zitouni traite plusieurs candidates de « grosses p*tes », sous le regard d’Aïnhoa Laitete. Une séquence tirée d’une story privée, mais qui a aussitôt embrasé les réseaux. Dans un communiqué commun, les deux comités évoquent des « propos injurieux » et une attitude « en totale contradiction avec les valeurs que nos comités s’efforcent de défendre », rappelant le soutien officiel de la Société Miss France à cette sanction jugée « lourde mais nécessaire ». Dans les coulisses, le ton est tout aussi sévère. Un proche du concours lâche : « En termes d’image, c’était impossible à laisser passer. »

Un autre pointe un problème récurrent :
« Laisser le portable entre les mains des Miss, c’est leur laisser une bombe. » Pendant que la polémique enfle, la nouvelle Miss France, elle, refuse de souffler sur les braises. Interrogée par Brut, Hinaupoko Devèze a maintenu une posture claire, maîtrisée : « C'est vrai que j'ai entendu parler de ces polémiques […] Elles se sont expliquées sur leurs réseaux sociaux et je pense qu'elles se sont déjà excusées. Je n'ai rien à dire de plus à ce niveau-là. » Une réponse volontairement brève, dans la continuité de son combat affiché pour la santé mentale. Mais derrière cette retenue, une autre version des faits commence à circuler…

Ce qui se serait réellement passé en coulisses

Alors que la Toile se déchaîne, le journaliste et insider Clément Garin a publié une information qui pourrait rebattre légèrement les cartes. Sur son compte X, il affirme avoir reçu un témoignage direct d’une personne présente lors de la soirée Miss France. Une révélation qui n’excuse rien, mais tenterait d’expliquer le comportement de Miss Provence et Miss Aquitaine. Selon lui : « Elles étaient dégoutées, comme beaucoup d'ailleurs, de voir des Miss grossophobes dans le Top 12. » Il poursuit en citant cette même source : « Lors du voyage, il y a eu beaucoup de problématiques grossophobes. Des Miss ont eu des propos intolérables sur d'autres Miss. » Et d’après ce témoignage, Julie et Aïnhoa auraient été parmi celles qui se sont indigné de cette situation :
« Aïnhoa et Julie étaient parmi les Miss qui s'en sont offusquées, et qui ont défendu la Miss victime de grossophobie. »

Ce qui aurait rendu leur colère encore plus vive lors de l’annonce du Top 12 : « Elles ont été choquées de voir que malgré les alertes émises, et le recadrage opéré, ces deux Miss au comportement toxique et grossophobe ont été malgré tout sélectionnées dans le Top 12. » Clément Garin conclut — ou plutôt rapporte la conclusion de sa source — avec nuance : « Ça n'excuse pas les insultes qu'elles ont proférées, mais ça les explique. » Autrement dit, il y aurait une tension plus profonde au sein du groupe, une fracture entre Miss sur des questions d’attitude, de respect et de comportements jugés discriminatoires. Une réalité interne qui, si elle se confirmait, montrerait que l’affaire est plus complexe qu’un simple dérapage verbal.

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