États Unis, un couple décide de cloner leur chien mort

Une grande décision prise:

Nous vous avions déjà parlé de l’histoire de ce couple qui avait été obligé de vendre leur chien afin de rembourser leurs dettes.Voici alors l’histoire de Ziggy, le chien clone.

C’est pour la modique somme de 50 000 dollars qu’un couple d’Américains, originaires de Californie décide de sauter le pas et de faire cloner leur chien décédé. Il s’agit d’un labrador du nom de Marley. Selon la chaine d’infos CNN, la compagnie a procédé au prélèvement de l’ADN de l’animal décédé 5 ans plus. Après le prélèvement de l’ADN de l’animal, l’entreprise l’aurait introduit dans l’ovocyte d’une chienne porteuse. Après cela, le nouvel embryon obtenu grâce à cela est alors réimplanté dans une autre chienne qui sera alors la mère porteuse du nouveau Marley, Ziggy.

Nous vous avions d’ailleurs parlé de l’histoire de ce chien qui avait avait une deuxième bouche dans l’oreille ! 

Ziggy, le chien clone:

Ziggy serait alors une copie conforme du chien du couple décédé, Marley. Selon l’ex maîtresse de Marley « Ils ont la même personnalité, ils jouent pareil, ils ont les mêmes préférences de jouets ».

Cependant, de nombreux scandales avaient éclaté autour du monde par rapport aux chiennes porteuses. Certaines associations auraient alors dénoncé le traitement cruel que ces animaux recevraient afin de service la cause de l’entreprise. Il faut croire qu’aux Etats Unis, la mode du clonage de chien n’est pas nouvelle, en 2018, Barbara Streisand, la célèbre actrice et chanteuse américaine avait donc avoué que ces chiens étaient aussi des clones de ses chiens précédents.

Mais les associations ne voient pas le clonage du même oeil et sont attristés par la suite. Selon l’association Peta, « Quand on sait que des millions de chiens tout aussi sociables sont euthanasiés chaque année dans des refuges car ils n’ont pas trouvé de foyer, c’est encore plus difficile de défendre le clonage ».

 

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Pourtant, ViaGen Pets ne serait pas restée sans rien dire et l’entreprise aurait tenu à défendre ses chiennes porteuses ainsi que le traitement que l’entreprise leur réserve en témoignant: « le niveau le plus élevé de soins, d’alimentation et de respect. Le nombre d’animaux clonés est infime comparé à celui des animaux des refuges. Nous ne pensons pas que le clonage aggrave la situation. »