Ces derniers mois ont été particulièrement mouvementés pour Patrick Bruel. En effet, comme bien des stars américaines, le chanteur a perdu sa maison dans les flammes qui ont ravagé la banlieue de Los Angeles en janvier dernier. Et il n’est pas le seul français à avoir été victime des incendies. Comme lui, Laeticia Hallyday a dû faire ses adieux à son domicile de Pacific Palisades.
Après ce drame, Patrick Bruel s’est réfugié aux Antilles pour se ressourcer au soleil. Le chanteur a tout de même répondu présent pour le concert annuel des Enfoirés, diffusé le 7 mars dernier sur TF1, à la place de DALS. Mais pendant ce temps, le nom de Patrick Bruel se retrouve mêlé à une affaire rocambolesque. Une sombre histoire de home-jackings, pour laquelle deux jeunes hommes ont été mis en examen.
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Des home-jackings au nom du chanteur
Dans les colonnes du Parisien ce vendredi 14 mars, on découvrait l’étonnante histoire de plusieurs home-jackings. La particularité de ces vols réside cependant dans le fait qu’ils ont été commandités par un certain « Patrick Bruel ». Mais il s’avère que l’interprète de Qui a le droit n’est absolument pas mêlé à cette affaire sordide. En effet, un jeune homme de 19 ans se faisait en fait appeler ainsi sur Snapchat. Il utilisait ensuite le nom du chanteur pour commettre ses méfaits.
Fait encore plus improbable, le fait « Patrick Bruel » commanditait des home-jackings depuis sa cellule de prison ! Incarcéré à la prison de Liancourt dans l’Oise, il envoyait des complices aux domiciles de ses victimes pour réaliser les vols. Des délits parfois commis avec violence, comme dans le cas d’un home-jacking s’étant déroulé à Versailles. Les complices n’ont pas hésité à assommer un propriétaire et à s’en prendre à sa compagne pour dérober leur butin.
Le faux Patrick Bruel derrière les barreaux
Après de longs mois d’enquête, les forces de l’ordre ont finalement retrouvé 7 hommes impliqués dans de multiples home-jackings. Tous sont interpellés entre novembre 2024 et janvier 2025, grâce à des indices laissés sur les lieux des délits. Les enquêteurs mettent alors la main sur une trace d’ADN et sur une empreinte digitale, qui les mèneront aux malfaiteurs. Si certains nient les faits qui leur sont reprochés, plusieurs d’entre eux passent aux aveux.
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Toutefois, ce n’est que ce mercredi 12 mars que « Patrick Bruel » est finalement interpellé, au centre pénitentiaire où il purgeait déjà une peine. Les enquêteurs de la brigade de répression du banditisme procèdent également à l’arrestation d’un autre complice à son domicile de Stains. Le jeune homme de 17 ans faisait l’intermédiaire entre le faux Patrick Bruel et les malfaiteurs recrutés pour commettre les home-jackings.
Regardez :
Soupçonné d’avoir commandité deux home-jackings, il se faisait appeler « Patrick Bruel » sur Snapchat
➡️ https://t.co/smZUaQSErq pic.twitter.com/otEAdoZ4AF— Le Parisien (@le_Parisien) March 14, 2025