Meurtre de Justine Vayrac, 20 ans : ses parents ‘écrasés par le chagrin’

Une tragédie qui a choqué la France

L’affaire du meurtre de Justine Vayrac a secoué la France entière…  Dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 octobre, la jeune maman de 20 ans a disparu après une sortie en boîte. D’après plusieurs témoins, elle « aurait été aperçue pour la dernière fois en compagnie d’un jeune homme » à 4h du matin selon Le Parisien. Inquiets de ne pas la voir rentrer auprès de son fils de deux ans et demi, ses parents ont signalé sa disparition le lendemain.

Toujours selon Le Parisien, un certain Lucas L. attire l’attention des enquêteurs. « Une connaissance amicale rencontrée quelques fois au sein de la boîte de nuit » selon ses amis. Et cette piste se confirme après la découverte traces de sang au domicile et dans la voiture du suspect. Par ailleurs, les enquêteurs ont découvert le sac à main de Justine calciné aux environs de la résidence de Lucas L. D’ailleurs, son stratagème pour se débarrasser du corps a été dévoilé.

Une famille effondrée après l’annonce du meurtre de Justine Vayrac

BFMTV est parti à la rencontre des habitants du petit village de Tauriac où habitait Justine avec son fils. Selon un habitant qui connaissait bien la jeune fille, ses parents sont « écrasés par le chagrin. Leur vie est fichue, perdue ».  Quand à l’adjoint au maire qui est parti à la rencontre de cette famille, il « décrit un sentiment d’impuissance et sa profonde tristesse quant à l’émotion de cette famille.

Disparition de Justine Vayrac : le profil du principal suspect se précise

💬 "On est petits devant une telle souffrance"

Dans le Lot, le village de Tauriac sous le choc après le meurtre de Justine Vayrac pic.twitter.com/SHd5prsAcN

— BFMTV (@BFMTV) October 28, 2022

Toujours au micro de BFMTV, l’adjoint au maire relate ses échanges avec les parents avant et après l’annonce du meurtre de Justine Vayrac. « Jusqu’à hier matin c’était l’angoisse de l’attente. Avec toujours une espérance. Et puis d’un seul coup l’espérance tombe et puis d’un seul coup c’est le néant c’est le vide c’est le noir. Et il n’y a plus rien pour s’accrocher. J’ai vu la maman hier après-midi avec le beau-père, avec la famille. On est petits face à une telle souffrance… »

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