‘Il me tenait par le cou, ça m’asphyxiait’ : enceinte et violée par un soldat russe, Dasha raconte

L’invasion russe en Ukraine se poursuit

Ricardo, le candidat de télé-réalité, a réagi en voyant que la France faisait de nombreux dons à l’Ukraine. Sur ses réseaux sociaux, il fait part de son opinion et il semblerait que son avis soit bien tranché. Le blogueur @fake_influenceurs a expliqué aux internautes : « Ricardo a poussé un coup de gueule sur snap contre les répercussions de la gue*re Ukraine vs Russie, sur la France. Il va fabriquer plusieurs t-shirts en mode ‘révolution’ avec inscrit ‘fuck Ukraine VS Russie et un dessin de la France avec un 1. Ces t-shirts seront gratuits ».

Dans sa story, le candidat accusé d’arnaque après la cagnotte pour gagner une voiture balançait : « ça refuse l’augmentation du SMIC et ça débloque des chèques magiques pour l’Ukraine. Ça commence à me chauffer vraiment ! Aide ton peuple d’abord, en fait ! Au lieu de le racketter. Mouvement pacifique = àa sert à rien. Sur ma vie, cette fois, je descends le premier dans la rue. Et bienvenue aux casseurs ! ». 

Si nombreux sont les internautes qui ont réagi à son intervention, nombreux sont ceux qui soutiennent les Ukrainiens face aux russes. Encore plus quand des témoignages de v*ctimes sont partagés par les médias. Comme celui de Dasha, 16 ans, enceinte et v**lée par un soldat russe alors qu’elle était enceinte.

Dasha : le témoignage d’une femme vi*lée

C’est nos confrères du Parisien qui ont raconté l’histoire de cette adolescente. Elle vivait  dans le village de Krasnivka, pris par les Russes, libéré depuis par les Ukrainiens. La jeune fille est enceinte d’un jeune homme qui, lui, a fui vers l’ouest. En mars dernier, des soldats russes pénètrent chez elle. « Ce matin-là, ils arrivent à quatre, alcoolisés », raconte Dasha. Au moment des faits, elle n’est pas seule. Sa mère, sa sœur de 14 ans ainsi que ses frères âgés de 11, 7 et 6 ans, sont également présents.

L’un d’eux la fait monter dans une chambre. « Il m’a demandé de me déshabiller. J’ai dit non. Il m’a dit : ‘Alors j’appelle vingt camarades. Je ne voulais pas, mais je n’avais pas le choix« , a confié Dasha. Précisant que sa mère n’était pas loin et entendait le lit grincer : « Il m’a ordonné de ne pas faire de bruit, il essayait de m’embrasser, il était contre moi, je voulais le repousser, mais il était beaucoup plus fort, même saoul. Il me tenait par le cou, ça m’asphyxiait un peu. Et il avait cette odeur d’alcool, je la sentais autour de moi. »

Aujourd’hui, Dasha veut accoucher en paix et laisser cette histoire derrière elle. Evoquer cette histoire pour Le Parisien est une façon de tirer un trait sur cette période traumatisante…

 

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