Depuis huit ans, l’entourage de Laurence Mangué vit dans l’attente. L’émission Appel à témoins, diffusée ce soir, relance l’enquête autour de cette mystérieuse disparition survenue à Saïx, dans le Tarn. Mais une voix dans la famille refuse d’accepter la version officieuse : celle de Johanna, la nièce de la disparue, qui pointe du doigt des incohérences majeures.
Laurence Mangué, 53 ans, a disparu sans laisser de trace le 12 février 2017. Malgré des recherches intenses et la découverte de sa voiture près de la rivière du Thoré, aucune avancée majeure n’a permis de comprendre ce qui s’est passé. Huit ans plus tard, l’inquiétude et les questions demeurent. Et une hypothèse, selon Johanna, ne tient tout simplement pas la route.
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Laurence Mangué, une disparition troublante au bord de l’eau
Ce dimanche 12 février 2017, Laurence Mangué quitte son domicile de Saïx, dans le Tarn. Son mari signale sa disparition dès le lendemain. Rapidement, son véhicule est retrouvé près du Thoré, une rivière des environs. Les autorités déploient alors d’importants moyens pour sonder les eaux. Des plongeurs sont mobilisés, mais aucune trace d’elle. Cette disparition soudaine et silencieuse plonge la famille dans l’incompréhension. Les années passent, et malgré la persistance des proches, aucune piste ne permet de comprendre ce qui s’est réellement passé cette nuit-là. L’enquête, toujours ouverte, piétine dans le silence.
Pour les enquêteurs, la voiture retrouvée au bord du Thoré pourrait laisser penser à une chute accidentelle ou à un acte volontaire. Mais très vite, cette version heurte la nièce de Laurence Mangué. Johanna soulève des incohérences majeures, notamment liées au profil psychologique de sa tante et aux circonstances de sa disparition. En effet, elle est myope et ne se déplace jamais sans ses lunettes, qu’elle aurait pourtant laissées derrière elle ce soir-là. De plus, elle souffre d’une phobie de l’eau. « En pleine nuit, moi je pense qu’il faut le trouver, le chemin, sans lunettes, rien. C’est improbable », insiste Johanna.
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Une hypothèse contestée par la famille
Le témoignage de Johanna est sans équivoque : Laurence Mangué ne serait jamais allée volontairement au bord d’un cours d’eau. « Elle avait la phobie de l’eau, s’en approcher était même impossible pour elle », affirme-t-elle. Elle remet également en question la thèse d’une noyade accidentelle : deux jours après la disparition, une crue importante a eu lieu dans le Thoré. Or, selon elle, un corps aurait dû remonter à la surface. Mais huit ans après, aucun indice, aucun reste, rien. Pour Johanna, cette hypothèse est un raccourci commode mais erroné. L’émotion qu’elle exprime dans ses déclarations traduit une frustration face à une enquête qu’elle juge figée dans une piste fausse.
Le contexte personnel de Laurence Mangué soulève aussi des interrogations. Le soir de sa disparition, elle avait dîné chez sa sœur, en compagnie de son mari, dans une ambiance visiblement tendue. Le couple battait de l’aile, mais rien n’indiquait un départ volontaire. Au contraire, elle semblait attachée à sa famille et attendait avec impatience des événements à venir. France 3 Occitanie évoque des similitudes avec l’affaire Delphine Jubillar : une femme en couple, sur le point de reprendre sa vie en main, qui disparaît sans explication. Pour Johanna et ses proches, le parallèle n’est pas anodin. Ils espèrent que l’émission Appel à témoins permettra enfin de débloquer l’affaire.
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