Le jeudi 31 juillet dernier, une affaire qui n’est pas sans rappeler le procès des viols de Mazan a éclaté au grand jour. Alors qu’il pensait se rendre à une soirée libertine consentante, un homme s’est rapidement rendu compte que la femme présente n’était pas dans un état de conscience normal. Ainsi, il a alerté les autorités et expliqué qu’une femme lui avait fait une fellation, mais qu’il doutait à la fois « de son consentement et de son discernement ».
Interpellé par les forces de l’ordre, l’époux, un homme de 62 ans, a alors été placé en détention provisoire et mis en examen pour « viol avec administration de substances ». À la police, le sexagénaire s’est justifié, assurant que sa femme était consentante. Mais pour le JT de 20 h, présenté par Audrey Crespo-Mara (la veuve de Thierry Ardisson), la victime présumée, qui a porté plainte, a livré sa version des faits… Et elle fait froid dans le dos.
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Dijon : une affaire sordide qui rappelle le procès de Mazan
Âgée de 44 ans, cette femme d’origine cambodgienne a d’abord
expliqué que les souvenirs qu’elle a de cette soirée sont troubles.
« Je suis très fatiguée, je suis allée dans le
lit. Après j’entends clac-clac, les clés, et
quelqu’un entrer. Mon mari dit : Viens ici, viens ici ».
Loin d’être consentante, la femme aurait été alcoolisée à
son insu par son mari, qui l’aurait violée, avant
de la livrer à d’autres hommes.
Si le parquet de Dijon, contacté par TF1, a indiqué que « le mari estimait que ces relations libertines étaient librement consenties par son épouse », sa femme a immédiatement balayer la question du consentement. « Non, moi, je n’ai jamais été d’accord », a en effet assuré la plaignante auprès des équipes d’Audrey Crespo-Mara. Mais la femme va encore plus loin… Mariée depuis 2016, l’accusatrice a affirmé que son époux n’en serait pas à son premier coup d’essai.
De l’alcool et des médicaments pris à son insu ?
Devant les caméras d’Audrey Crespo-Mara, la quadragénaire a en effet assuré : « Ce n’est pas la première fois. Tous les deux ou trois mois, il me fait boire, boire, boire. Après, c’est tout noir. Je ne comprends rien. Le lendemain matin, j’ai mal partout« . Outre l’alcool, elle a également accusé son mari de lui avoir imposé l’absorption de médicaments. « Il me les met dans la bouche. Après il me donne de l’eau et me dit : Bois, bois. Je dis non, je ne veux pas. Il dit qu’il faut que je bois », a-t-elle déclaré.
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Contactée par Audrey Crespo-Mara et les équipes du 20 heures de TF1, l’avocate du sexagénaire a refusé de s’exprimer au sujet de l’affaire. Il est toutefois nécessaire de rappeler que ce dernier, placé en détention provisoire, bénéficie de la présomption d’innocence jusqu’à preuve du contraire. Alors que cette histoire présente de nombreuses similitudes avec le calvaire enduré par Gisèle Pelicot, la justice va devoir faire son travail.