Miss France évoque un événement douloureux de sa vie passée
Diane Leyre va vivre un rêve éveillé le temps d’une année. Depuis son sacre, le 11 décembre dernier, tous les regards sont tournés vers elle. D’autant plus qu’elle enchaîne les interviews et se confie en toute transparence. Mais ce n’est pas la seule, ses proches aussi sont interviewés. Comme nos confrères de Gala qui ont notamment interrogé son papa. Ce dernier n’a pas hésité à confié qu’il n’était pas emballé au départ. Ce dernier était promoteur immobilier tout comme sa fille et il était ravi qu’elle travaille dans le même domaine que lui. Alors, ce changement de carrière, il ne l’a forcément vu comme une bénédiction : « Au début je me suis dit : ‘Si ça l’amuse…’ Je voyais pour ma fille une autre destinée ».
Mais, en se renseignant sur le rôle de Miss, en s’intéressant de plus près à ce monde, il a changé d’avis. « Ça correspond à son caractère. Diane était faite pour être Miss France ! Je n’ai jamais douté de sa victoire. Elle est ouverte, conviviale, attire la lumière, autant de qualités qu’on n’apprend pas à l’école », a-t-il ajouté. Nul doute : son papa est son premier fan. Toutefois, il y a des moments plus durs auxquels a dû faire face Diane. Comme le décès de son ami.
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Diane Leyre se confie sur le décès de son ami
Notre nouvelle Miss France s’est livrée à Public. Nos confrères ont évoqué avec elle, le moment le plus difficile qu’elle ait eu à vivre. Diane Leyre a répondu en toute franchise : « les deuils ». Celui qui a chamboulé sa vie est celui qui a fait suite au décès de son ami : « L’année dernière encore, en partant au travail, j’ai appris le décès d’un copain à qui j’avais envoyé un texto la veille. Il avait seulement 23 ans. C’est un choc qui vous fait réaliser qu’il faut profiter de chaque instant, ne surtout rien regretter. »
Celle qui a présenté son frère a décidé par la suite de s’inscrire au concours de Miss France. Alors qu’elle avait atteint l’âge limite pour pouvoir s’inscrire (c’est à dire 24 ans), Diane Leyre a décidé de se lancer. Tête baissée. Et ce fut l’un de ses meilleurs choix, au vu de l’issue.
