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‘C’était un cri de peur, c’était fort’ : détails sur la nuit de la disparition de Delphine Jubillar

par Louisa Haddad

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'C’était un cri de peur, c’était fort' : détails sur la nuit de la disparition de Delphine Jubillar
Crédit photo : 'C’était un cri de peur, c’était fort' : détails sur la nuit de la disparition de Delphine Jubillar

Delphine Jubillar : une de ses voisines a accordé une interview au Parisien et est revenue sur la nuit de sa disparition. Elle a évoqué un cri particulier…

Les témoignages sur cette nuit

Dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, Delphine Jubillar, est sortie de chez elle avec ses deux chiens. Cependant, au petit matin, son mari, Cédric, s’est rendu compte qu’elle n’était toujours pas rentrée. Il a alors très vite contacté les autorités afin de signaler sa disparition. Alors que la jeune femme est introuvable depuis, les enquêteurs continuent de remuer ciel et terre à la recherche du moindre indice dans l’espoir de confirmer l’une de leurs hypothèses. Cédric, quant à lui, a été incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses, soupçonné d’être à l’origine de son décès. Malgré tout, il ne cesse de clamer haut et fort son innocence.

Mais un élément est venu tout chambouler : Delphine et  son époux se seraient disputés le soir du drame. « Des tensions existaient depuis déjà plus de six mois entre eux et l’ambiance s’était nettement dégradée à l’approche des fêtes de fin d’année. Ils se sont disputés ce soir-là pour une raison bien précise », a expliqué une source. Selon La Dépêche : Cédric Jubillar aurait appris l’existence d’un amant caché.

Une voisine évoque un « cri de peur »

Dans les colonnes du Parisien, une voisine a donné plus de détails sur cette nuit-là. Elle a confié avoir entendu un cri « glaçant », alors que le quartier était très silencieux suite au couvre-feu imposé par les mesures sanitaires. Cette femme a précisé : « C’était un cri de peur, c’était fort. Ça criait, ça s’arrêtait et la peur était si importante qu’elle n’avait pas le temps de reprendre son souffle. Ce que je sais, c’est que le cri de cette personne m’a fait très, très peur« .

La fille de cette voisine confirme son témoignage. Âgée d’une dizaine d’années, elle regardait ce soior-là Retour vers le futur 2 sur TF1. Durant la coupure publicité, la petite fille a rejoint sa mère sur la terrasse. Cette dernière a ajouté : « Les cris étaient mêlés aux aboiements des chiens ». Ayant peur des chiens, cela l’a empêché d’intervenir. Des éléments auxquels devra répondre Cédric Jubillar, qui sera de nouveau interrogé par les juges d’instruction, ce vendredi 3 décembre.

Passionnée d'écriture et de l'actualité des stars, je suis comblée de pouvoir mêler ces deux univers ! Et quoi de mieux que Officielles pour assouvir ces passions ?