L’été dernier a été particulièrement éprouvant pour Kamila. Déjà fragilisée par l’agression violente de son frère en avril, dont il sort tout juste du coma, l’influenceuse a dû faire face à un enchaînement de polémiques. Critiquée pour sa présence au Festival de Cannes, puis au cœur d’un débat brûlant après avoir publié des photos de sa fille voilée, la jeune femme s’est retrouvée sous le feu des projecteurs.
Mais au-delà de l’exposition médiatique, c’est aussi sa vie personnelle et familiale qui intrigue, entre brouille avec sa sœur et confidences sur son mal-être à Dubaï. La jeune maman se confie, et on vous relate ses propos.
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Kamila, entre éducation religieuse qui divise et conflit avec sa sœur
Tout a commencé avec la publication de clichés de sa fille Adria, 3 ans, vêtue d’un voile et imitant la prière. « Didi veut refaire comme ma mère », a légendé Kamila sur Snapchat. Rapidement, des internautes se sont indignés : « Elle n’est pas trop petite pour faire ça ? », « Sa religion qu’elle n’a pas choisie, super… ». La réponse de l’influenceuse n’a pas tardé : « Il n’y a pas d’âge pour apprendre sa religion, plus c’est tôt, mieux c’est. […] Elle aime faire la prière avec sa famille depuis qu’elle est toute petite. Rien de traumatisant, que de la paix et de l’amour ». Mais ces explications n’ont pas suffi à éteindre la polémique, et ont ainsi relancé le débat sur l’éducation religieuse et le libre arbitre des enfants.
En parallèle, une autre tension intrigue ses abonnés : son froid persistant avec sa sœur. Et selon le blogueur @skyresstvr, « depuis très longtemps, il y a un froid entre les sœurs. Beaucoup pensent que c’est une question de jalousie envers Kamila ». Leur mère en aurait d’ailleurs été profondément affectée. Pourtant, malgré les rancunes, le lien fraternel ne serait pas totalement rompu : « Ça reste des sœurs de sang. Demain, si l’une a besoin de l’autre, elle sera là. Et vice versa », a assuré la même source.
Dubaï : un choix de raison plus que de cœur
évoquer leur quotidien aux
Émirats. Sans détour, elle reconnaît : « Je pense qu’on est réellement plus heureux
à Marseille qu’à Dubaï », tandis que son époux
confirme en arrière-plan : « Rien à voir. »
Pour l’influenceuse, la différence est claire : «
Là-bas, tu es chez toi, tu sens que tu es chez toi. »
Et pour Noré « À Dubaï, le bonheur tu le cherches. » Si le
couple a choisi de s’installer à Dubaï, c’est avant tout par
souci d’offrir le meilleur à leurs enfants :
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Pour moi, c’est à contre-cœur, mais je fais ça pour mes enfants parce que c’est le top selon moi.
Elle cite notamment l’apprentissage des langues, la possibilité de suivre une éducation islamique dans des écoles coraniques, mais aussi la sécurité et la facilité pour investir ou faire du business.
Noré, de son côté, confie avoir trouvé un cercle d’amis grâce au football, quand Kamila avoue n’avoir gardé qu’un réseau limité : « J’ai une ou deux amies, le reste je les ai dégagées parce que c’est superflu. » Un bilan mitigé qu’elle conclut avec amertume : « Trois ans après, le constat, il est là. » Ses propos laissent entrevoir une femme partagée entre le poids des obligations et l’envie de retrouver un bonheur plus authentique.Selon vous, fera-t-elle un jour le choix de revenir définitivement à Marseille ?
@influexclus Kamila n’est plus heureuse à Dubaï #pourtoi #foryoupagе #kamilanoré #kamilakenan #poupettekenza