Douze ans après le suicide de Krisztina Rády, ex-compagne de Bertrand Cantat, un élément sonore inédit sème le trouble dans l’opinion publique. Ce message vocal, récemment révélé par le magazine Elle, expose une détresse intime qui relance les spéculations autour des circonstances de sa mort.
Alors que la justice avait classé l’affaire sans suite en 2018, ce nouvel enregistrement bouleversant réveille un drame que beaucoup espéraient clos. Mais face à la puissance émotionnelle de cette voix venue du passé, les réseaux sociaux s’enflamment, tandis que la famille de la défunte réclame le silence.
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C’est une révélation qui pourrait marquer un tournant symbolique. Dans son édition du 7 août 2025, le magazine Elle publie un message vocal de sept minutes, enregistré par Krisztina Rády peu de temps avant sa mort. Destiné à ses parents, ce message d’une rare intensité émotionnelle témoigne d’un quotidien empreint de peur et d’isolement, au sein duquel la présence de Bertrand Cantat semble peser lourdement. On y entend notamment cette phrase glaçante :
J’espère qu’on va pouvoir s’en sortir et que vous pourrez encore entendre ma voix, et sinon, alors, vous aurez au moins une preuve que… mais des preuves il y en a.
Ces mots, désormais publics, résonnent comme une ultime tentative de se faire entendre avant le silence définitif. Ce document audio a été qualifié de « plainte posthume » par François Saubadu, le dernier compagnon de Krisztina Rády. Selon lui, il ne fait aucun doute que ce message constitue une forme d’appel à l’aide, lancé en vain par une femme à bout. Plus qu’un simple témoignage, ce fragment sonore pourrait devenir une pièce centrale dans la compréhension du climat psychologique qui régnait dans les derniers mois de la vie de la traductrice. Reste à savoir si cette voix, venue du passé, pourra réellement faire évoluer le dossier sur le plan judiciaire.
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La famille de Krisztina Rády refuse de rouvrir les blessures
Malgré les remous provoqués par cette révélation, les parents de Krisztina Rády refusent catégoriquement de rouvrir l’enquête. Leur avocat, Me Tibor-Louis Leh, a rappelé dans un communiqué transmis à l’AFP que « les parents souhaitent l’apaisement et ne comprennent pas l’acharnement concernant ce dossier, notamment en prétendant que leur gendre aurait commis un suicide forcé ». Cette position, ferme et répétée, s’oppose aux appels à une réévaluation judiciaire du drame, ravivés par la diffusion du message vocal. Il faut dire que depuis la mort de leur fille en 2010, quatre enquêtes ont été successivement ouvertes puis classées, la dernière en 2018.
Si les parents avaient au départ évoqué la « violence » exercée par Bertrand Cantat sur Krisztina, ils semblent aujourd’hui vouloir se détacher de ce combat. Pourtant, en 2013 déjà, ils laissaient entendre par la voix de leur avocat que « beaucoup d’autres raisons complexes » pourraient avoir mené leur fille à se donner la mort. À 41 ans, cette intellectuelle hongroise disparaissait en laissant derrière elle une zone d’ombre sur ses derniers instants. Une ombre que ce message vocal vient aujourd’hui densifier. Mais pour sa famille, ce retour médiatique incessant constitue une épreuve supplémentaire, bien éloignée de l’apaisement qu’ils recherchent.