Incarcérée en juillet 2024 pour tentative d’extorsion de fonds dans une affaire où elle est soupçonnée d’avoir voulu soutirer 350 000 euros à une ancienne associée, Poupette Kenza, de son vrai nom Kenza Benchrif, risque jusqu’à vingt ans de prison. Libérée le 31 octobre alors qu’elle était enceinte de huit mois, l’influenceuse vit depuis sous contrôle judiciaire, en attendant un procès dont la date reste inconnue. Pour briser le silence, elle a choisi l’écriture.
Dans un long message publié sur Instagram, elle déclare : « Écrire m’a aidée, écrire m’a sauvée », confiant qu’elle n’arrivait plus à s’exprimer oralement tant la douleur était forte. Son livre, déjà disponible en précommande, revient sur ses épreuves, ses réussites, et les bouleversements de sa vie. « J’ai décidé de tout vous dire, sans aucun tabou, sans aucun filtre. La vérité ? Je vous la dois », écrit-elle à ses deux millions d’abonnés, évoquant avec émotion son parcours et les dix mois de silence qui ont alimenté toutes les spéculations.
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Poupette Kenza reconnaît sa responsabilité
Plus de six mois après sa sortie de prison, Poupette Kenza a choisi de revenir publiquement sur l’affaire qui a bouleversé sa vie. Dans une interview exclusive accordée au Parisien, l’influenceuse de 24 ans assume pour la première fois ses actes. Mise en examen pour « tentative d’extorsion en bande organisée » et « association de malfaiteurs », elle revient sur cette affaire rocambolesque qui aurait impliqué un homme présenté comme « un exécuteur » engagé pour intimider un couple afin de récupérer une forte somme :
J’ai mal agi, je le regrette… J’ai engagé un homme de main et j’ai voulu me faire justice moi-même
Son avocat, Me Jérémy Kalfon, affirme toutefois que sa cliente n’a ni « piloté » ni « validé » l’opération dans sa forme finale. L’influenceuse explique de son côté : « Une personne m’a recommandé cet homme de main […] en me le présentant comme un agent de sécurité ». Elle poursuit : « Je voulais qu’avec sa prestance, il mette un coup de pression ». Lucide sur les conséquences, elle déclare : « En tout cas, au procès, je ne renierai pas ma culpabilité ». Aujourd’hui, elle vit sous contrôle judiciaire près d’Angers avec son compagnon Allan, également mis en examen dans ce dossier. Elle profite aussi de cette mise au point médiatique pour critiquer les dérives des réseaux sociaux :
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Certains réseaux comme Snapchat poussent à la dépendance […] Je suis rentrée dans un engrenage inarrêtable qui m’a fait autant de bien que de mal
Une détention sous le choc
Interpellée en juillet 2024 dès son retour en France, Kenza Benchrif a été incarcérée alors qu’elle était enceinte. Lors de son témoignage, elle évoque un choc profond à son arrivée en détention : « Quand j’arrive en détention, je suis sûre que tout va s’arranger et que je vais très vite ressortir. […] Ça m’a fait un choc. Je me suis dit, et s’il avait raison… ? » Placée à la nurserie réservée aux futures mères, elle décrit une cellule à part, aux allures de studio : « J’étais à l’écart des autres détenues, dans une cellule bien plus luxueuse ; une sorte de studio avec une douche, une cuisine, un micro-ondes ». Elle partage son espace avec une autre maman, dont l’histoire l’a marquée : « Elle m’a dit : “Je me suis dénoncée à la place de mon ex-mari” ».
Depuis sa libération le 31 octobre 2024, l’influenceuse a choisi de se reconstruire en silence, jusqu’à l’annonce de la publication de son livre De Poupette à Kenza, attendu pour le 22 mai aux éditions Plon. Elle y partage sans filtre son parcours, ses chutes et ses remords : « J’ai écrit chaque jour, chaque minute, chaque seconde. […] Écrire m’a aidée, écrire m’a sauvée ». Dans un message poignant posté sur Instagram, elle s’adresse à sa communauté : « À mes enfants, à mon mari, à ma famille, à mes amis, à mes poupettes. J’ai tellement de choses à vous dire […] Alors, j’ai décidé de figer le temps ». Une tentative de renaissance, entre introspection et aveux.