Parmi les figures majeures de Twitch en France, nous retrouvons BagheraJones (qui a participé à l’émission de Michou Danse avec les stars d’Internet l’année dernière). Une streameuse qui ne craint jamais de briser le tabou de l’argent. Suivie par plus de 699 000 abonnés, la créatrice de contenu assume depuis plusieurs années une transparence totale avec sa communauté. Une démarche encore rare dans le milieu du streaming, où les revenus sont souvent tenus secrets.
À l’image de Samuel Étienne (remis à sa place par Capucine Anav) , qui avait récemment détaillé son modèle économique après son départ de France Télévisions, BagheraJones choisit elle aussi d’expliquer comment elle gagne sa vie sur Twitch. Une volonté d’honnêteté qui séduit un public curieux des réalités financières derrière le succès en ligne.
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« Si on me dit que c’est 4000€, c’est ce que je me verse moi »
Lors d’une discussion avec ses abonnés en avril, la streameuse a accepté de parler chiffres. Face à des internautes supposant qu’elle était « riche », elle a mis cartes sur table. Un spectateur a notamment affirmé que « plus de 4000 euros par mois pour vivre seul, tu es riche, c’est moins de 7% de la population française. » D’autres ont même évoqué le cliché selon lequel « on devient riche dès qu’on se plaint des impôts. »
BagheraJones a réfuté ces idées reçues. Elle a précisé qu’elle ne s’était jamais plainte de la fiscalité et a rappelé que les aides étudiantes ou sociales avaient pu jouer un rôle dans son parcours. Concernant sa rémunération, elle a expliqué :
Si on me dit que c’est 4000€, c’est ce que je me verse moi en tout, avant impôts, autres frais et compagnie. Ça me permet de mettre une partie de côté. Donc dans ce cas-là, oui, je suis riche.
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Elle a aussi tenu à distinguer ses revenus personnels de ceux générés par son entreprise :
Je ne prends pas toutes les opés dans ma poche !
Subs, publicités et transparence sur les revenus Twitch
BagheraJones ne s’est pas arrêtée là. Déjà en 2024, elle avait expliqué en détail comment un streameur pouvait générer des revenus sur Twitch. « Là par exemple, on a eu 1023 subs [abonnements, ndlr], ça fait que j’ai touché 2733 dollars estimés », avait-elle indiqué à sa communauté. Elle a ajouté qu’elle percevait environ 2,3€ par abonnement et que les publicités apportaient un revenu complémentaire, parfois de 28€ par jour, avec un pic notable pendant les fêtes de Noël.
Cependant, elle a précisé qu’elle diffusait très peu de publicités, se contentant du minimum requis par la plateforme. « C’est principalement les subs qui rapportent de l’argent », a-t-elle souligné. Pour BagheraJones, parler d’argent devrait devenir une norme :
En France, c’est tabou de parler d’argent alors que ça ne devrait pas l’être. On gagnerait beaucoup à être plus transparent.
Une position qui continue de renforcer le lien de confiance entre la streameuse et sa communauté.