Le soir du vendredi 23 mars, une attaque d’une brutalité inédite a secoué Moscou, faisant basculer la ville dans une atmosphère de deuil et d’incompréhension. Le Crocus City Hall, une salle de concert réputée située en banlieue de la capitale, a été la cible d’une attaque meurtrière qui a ôté la vie à 137 personnes. C’est le groupe jihadiste Daesh qui a diffusé les images de l’attentat, plongeant le monde entier dans l’effroi.
Les vidéos, provenant de caméras portées par les assaillants, montrent avec une clarté glaciale les moments de terreur vécus par les victimes. Ces séquences ont été relayées sur les canaux de communication de Daesh. Les clichés offrent un aperçu horrifiant de l’assaut mené par des individus armés, leurs visages dissimulés, semant la mort avec une froide détermination.
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Malgré la revendication rapide de l’attentat de Moscou par Daesh, qui a décrit l’acte comme une attaque contre un rassemblement chrétien, la réaction officielle du Kremlin a été notable par son absence de mention directe à cette affirmation. Au lieu de cela, les autorités russes ont rapidement orienté l’enquête vers d’autres pistes, notamment en établissant un lien contesté entre les auteurs de l’attaque et l’Ukraine. Cela a donc provoqué une réaction de déni de la part des autorités de Kiev et de scepticisme de la communauté internationale.
Les jours suivant l’attaque ont vu une série d’arrestations, parmi lesquelles figurent les quatre individus suspectés d’être directement responsables de l’attentat. L’enquête en cours a révélé des indices suggérant que certains des suspects pourraient avoir des origines au Tadjikistan, ajoutant une couche de complexité à l’affaire et soulignant les ramifications régionales du terrorisme. De plus, le FSB, l’agence de renseignement russe, a déclaré que les individus suspectés avaient des « contacts appropriés du côté ukrainien » et avaient l’intention de s’évader vers ce pays. Toutefois, l’agence n’a pas élaboré sur la spécificité de ces connexions ni fourni de preuves concrètes les étayant.
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Daesh publie des images de l’attentat sur Internet
Les images partagées par le groupe jihadiste Daesh font froid dans le dos. Les agresseurs, identifiables à leurs tenues de combat mais aux visages floutés, sont vus en train d’exécuter méthodiquement leurs victimes, utilisant fusils d’assaut et couteaux dans un déchaînement de violence. Des scènes de violence extrême qui rappellent douloureusement l’attentat du Bataclan en 2015. La vidéo diffusée par Daesh, au-delà de son contenu macabre, soulève ainsi des questions cruciales sur le rôle des plateformes en ligne dans la lutte contre le terrorisme.
Elle illustre la manière dont les groupes extrémistes utilisent les outils numériques pour étendre leur influence et propager leur idéologie. La réaction des autorités et des plateformes digitales à la diffusion de telles images devient ainsi un enjeu majeur dans la guerre contre le terrorisme, nécessitant une vigilance constante et des stratégies de contre-propagande appropriées. Par ailleurs, nous vous partagions le témoignage d’une rescapée de l’attentat du Bataclan.