Il y a maintenant un peu plus de trois ans, le virus de la Covid-19 entrait avec fracas dans nos vies. Après son passage, les habitudes de la population mondiale ont été bouleversées. Pour contrer la maladie, de nombreux vaccins ont vu le jour sur le marché. On vous a d’ailleurs donné tous les détails de la prochaine campagne de vaccination.
Car si la maladie a perdu du terrain, elle n’a pas disparu pour autant. En effet, un nouveau variant a fait son apparition à la fin de l’été 2023. Il répond au nom de « Eris » et possède des symptômes bien précis. À cette occasion, le gouvernement français s’est posé la question d’un possible retour du port obligatoire du masque.
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Un gène précis joue un rôle dans la gravité de la Covid-19
Alors que le premier confinement surgissait en mars 2020, la vie a bel et bien repris son cours depuis. Pourtant, le virus qui a menacé la population mondiale continue de sévir. La Covid-19 est toujours présente dans nos quotidiens. Mais si elle en a effrayé beaucoup dans un premier temps, nous avons fini par apprendre à vivre avec. Malgré tout, son spectre est partout et continue de toucher les plus fragiles d’entre nous. C’est pourquoi les chercheurs tentent encore de le percer à jour.
Contre toute attente, une récente étude italienne a fait face à des résultats pour le moins étonnants. Cette découverte nous révèle qu’un gène hérité des Néandertaliens pourrait jouer un rôle majeur dans la gravité de la maladie. C’est notamment ce qu’explique le quotidien britannique Mirror. Rappelons que l’Homme de Néandertal n’est autre que l’un de nos plus vieux ancêtres. Présent en Europe, au Moyen-Orient et en Asie Centrale, ce dernier a vécu jusqu’à environ 30 000 ans avant nous aujourd’hui.
Découvrez tout de suite de quel gêne il s’agit
Cette nouvelle découverte de taille laisse entendre qu’un être humain qui possède ces gènes anciens a quasiment deux fois plus de probabilité de développer une forme grave de la Covid-19. Ce dernier a également moins de chances de s’en sortir. Auparavant, ces gènes ont déjà été associés à des maladies telles que le cancer de la prostate ou le diabète de type 2. Néanmoins, cette dernière découverte demeure tout à fait déconcertante. De plus, les chercheurs italiens ont dressé la liste de trois variantes liées à ce gène, qui augmentent notamment le risque de pneumonie post-virus.
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Afin de prouver leur propos, ces chercheurs ont avancé des chiffres bien précis. Parmi eux, on note que 33% des personnes de la ville de Bergame ayant développé une forme grave, sont porteuses de ce gène. Rappelons que la ville était l’épicentre de la pandémie en 2020. L’analyse se base donc sur un échantillon de 1 200 habitants de la région de Bergame. Découvert sur un Néandertaliens en Croatie il y a 50 000 ans, ce gène est plus que jamais présent, notamment chez les personnes d’origine Sud-Asiatique, et plus précisément au Bangladesh. Cette remarquable étude est la preuve que des millénaires plus tard, notre patrimoine génétique continue de nous impacter.
Covid-19 : l'OMS prévient contre le risque de propagation du nouveau variant #Eris pic.twitter.com/gkNwyE2eoO
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) August 8, 2023