Vladimir Poutine : Olga Skabeyeva, sa ‘poupée de fer’, s’exprime sur les obsèques d’Elizabeth II

Elizabeth II : ses funérailles vont réagir Olga Skabeyeva

Les funérailles de la reine Elizabeth II se sont déroulés ce lundi 19 septembre à Londres. Ses proches, des dizaines de chefs d’Etat et des centaines de milliers d’anonymes se sont rendus à cet événement historique. Événement qui marquait la fin d’une dizaine de jours de marathon pour ses proches.

Des milliers de personnes se sont pressées pour faire leurs adieux à leur souveraine. Même si la famille royale s’est montrée stricte avec les chaines de télévision. Dans les jours qui ont suivi, un autre point a fait couler beaucoup d’encre : le coût des obsèques. Selon nos confrères d’Europe 1, celles-ci auraient coûté pas moins de 35 millions d’euros. Une information qui a eu du mal à passer auprès des anglais, qui subissent de plein fouet la crise économique.

 

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La « poupée de fer » s’exprime sur les obsèques de la reine

Dans un entretien diffusé le 19 septembre, le président des États-Unis Joe Biden s’est adressée à Vladimir Poutine : « N’utilisez pas ces a*mes. Ne le faites pas. Vous changerez le visage de la gu*rre comme jamais depuis la Seconde Gu*rre mondiale »

Alors que le 19 septembre avaient lieu les obsèques de la Reine Elizabeth II, Olga Skabeyeva, célèbre présentatrice russe, a tenu des propos particulièrement choquants. Lors d’une discussion avec un député de la Douma, Andrey Gurulyov, au sujet du conflit russo-ukrainien, l’animatrice a fait comprendre que la Russie aurait pu lancer une att*que nucléaire sur l’abbaye de Westminster. 

Andrey Gurulyov, membre du comité de défense du parlement russe, a déclaré « Si le territoire russe est vraiment menacé, nous sommes dans le droit d’utiliser des a*mes nucléaires. Qu’est-ce qui lui fait penser que nous lancerions une att*que nucléaire sur l’Ukraine ? Nous aurions toujours à vivre là-bas, en Ukraine, et nous avons des tas d’autres cibles. Ramstein (base aérienne américaine en Allemagne, ndlr) est est une très grande (…). Mais pourquoi bombarderions-nous l’Ukraine ou l’Allemagne ? Il y a la Grande-Bretagne, la racine du mal. » Et la poupée de fer de Vladimir Poutine a rétorqué : « Nous aurions dû le faire aujourd’hui. Toutes les meilleures personnes étaient là, à assister aux funérailles. »