Isabelle Nanty se confie

Sur le même sujet
À l’occasion de le tournée promotionnelle pour la sortie du
film, l’actrice culte a choisi de se confier sur sa vie de famille.
C’est avec amertume qu’elle expliquait avoir
« sentimentalement raté sa vie. »
Mais, à 56 ans, Isabelle Nanty est tout de même une maman
heureuse et comblée. Car, elle a pris l’importante décision
d’adopter un enfant seule.
Elle confie ainsi à Gala : « À 30 ans, j’ai appris que
je ne pourrai jamais avoir d’enfant… Je suis une enfant
Distilbène. »
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
Kamila : sur le point de quitter Dubaï ? Elle se confie !
-
Robin (Les Cinquante) : il se confie sur l'avenir de sa relation avec Jérémy Samat !
-
"J'ai regardé tes films de c.." : AD Laurent en pleine polémique après sa vidéo devant des enfants dans un centre commercial !
-
Affaire Grégory : nouveau rebondissement avec l'audition prochaine d'un membre de la famille
-
Thierry Ardisson : mensonges autour de sa mort ? Nouveau rebondissement dans l'affaire !
-
Emilie Fiorelli : l’attitude de sa fille Louna, 7 ans, étonne vivement la Toile
-
"Ma rentrée lundi" : après son séjour en prison, Poupette Kenza retourne sur les bancs de l'école !
-
"Je n’ai mis personne dehors…" : Olivier Esposito confirme sa rupture avec Tiffanie et confie être inquiet pour ses 7 enfants !
-
Jean Imbert : accusé de violences, il sort du silence, "j'ai pris la décision..."
-
"Je n’ai pas les mots…" : une journaliste et son compagnon de CNews victimes d’une attaque au couteau dans le tramway !
La mère de Tallulah, née en Chine en 2002 et âgée de 16 ans, a
donc adopté la petite à 18 mois après avoir appris son
infertilité… Car, elle aurait ainsi subi les conséquences de ce
médicament, le Distilbène, qui était prescrit entre 1950 et 1977
aux femmes enceintes pour éviter les fausses-couches…
Il a, par la suite, été interdit, car il affichait de nombreux
effets secondaires et été reconnu responsable de troubles de la
fertilité pour les enfants exposés.
Ainsi, elle confie : « Je réunis d’ailleurs tous les
‘dys’ : dyslexique, dyspraxique, dyscalculique…! »
Elle a donc pris une décision lourde de conséquence,
« le choix d’adopter seule. »
Un bonheur partagé puisque sa fille l’avait « elle aussi adoptée » et les deux seraient ainsi très complices et proches.