Isabelle Nanty se confie
Sur le même sujet
À l’occasion de le tournée promotionnelle pour la sortie du film, l’actrice culte a choisi de se confier sur sa vie de famille. C’est avec amertume qu’elle expliquait avoir « sentimentalement raté sa vie. »
Mais, à 56 ans, Isabelle Nanty est tout de même une maman heureuse et comblée. Car, elle a pris l’importante décision d’adopter un enfant seule.
Elle confie ainsi à Gala : « À 30 ans, j’ai appris que je ne pourrai jamais avoir d’enfant… Je suis une enfant Distilbène. »
Articles les plus consultés
Top 10 du jour
Découvrez les articles du moment
-
"Toutes les questions concernent..." : les tests de compatibilité de MAPR totalement bidons ? Un ancien candidat balance !
-
Malika Ménard : Vaimalama Chaves dévoile le sexe de son bébé par erreur, la vidéo de cette grosse gaffe dévoilée !
-
Danse avec les stars : Elsa Bois fait un clin d'oeil à son ex Michou après sa qualification en finale avec Florent Manaudou
-
Mort du pape François : la vérité sur les causes de sa disparition enfin dévoilée !
-
Louane : la chanteuse prend une décision radicale pour la préparation de l'Eurovision, "c'est trop toxique" !
-
Un acteur vedette de Beverly Hills 90210 opéré en urgence, il a échappé de peu au drame
-
Disparition d'Agathe Hilairet : un nouveau témoignage très inquiétant laisse craindre le pire, "si elle était…"
-
Caroline Receveur : l’influenceuse très émue par ce souvenir de son combat contre le cancer !
-
"Difficile de dire non..." : Clémentine (Koh-Lanta) voudrait refaire l'émission mais met en avant un gros point négatif
-
Enola Holmes 3 : Netflix confirme la suite avec un changement de taille, tous les détails
La mère de Tallulah, née en Chine en 2002 et âgée de 16 ans, a donc adopté la petite à 18 mois après avoir appris son infertilité… Car, elle aurait ainsi subi les conséquences de ce médicament, le Distilbène, qui était prescrit entre 1950 et 1977 aux femmes enceintes pour éviter les fausses-couches…
Il a, par la suite, été interdit, car il affichait de nombreux effets secondaires et été reconnu responsable de troubles de la fertilité pour les enfants exposés.
Ainsi, elle confie : « Je réunis d’ailleurs tous les ‘dys’ : dyslexique, dyspraxique, dyscalculique…! »
Elle a donc pris une décision lourde de conséquence, « le choix d’adopter seule. »
Un bonheur partagé puisque sa fille l’avait « elle aussi adoptée » et les deux seraient ainsi très complices et proches.