Jazz : elle montre son ventre et son corps après 3 grossesses

Jazz Correia : elle accepte son corps post-grossesse

Les internautes reprochent régulièrement aux influenceurs et influenceuses de ne pas refléter la réalité sur leurs réseaux sociaux. En effet, entre la chirurgie esthétique, les filtres et les retouches photos, les physiques qui défilent sur nos feeds Instagram ont tendance à faire naître de nombreux complexes.

Encore plus pour les femmes qui ont eu des enfants et qui ne retrouveront plus jamais leur corps de jeune fille. D’ailleurs, Shanna Kress, enceinte de son premier enfant, vit très mal les changements liés à la grossesse. Et les internautes la critiquent énormément à ce sujet.

De son côté, Jazz Correia expliquait à ses abonnés qu’elle hésitait à recourir à la chirurgie esthétique sur son ventre. En effet, après trois grossesses et deux césariennes, le ventre de la candidate a gardé des traces. « La première césarienne m’avait abîmée le ventre, dans le sens où j’avais déjà un relâchement de peau mais bon je faisais avec honnêtement j’avais perdu grave de poids et tout… J’avais de la peau m*rte au ventre qui tombait mais ça allait, ça ne me dérangeait pas plus que ça. Là, cette deuxième césarienne, elle a aggravé la situation même si ça ne fait qu’un mois et demi. Mais la peau est bel et bien m*rte et bien là », confiait celle accusée d’être hautaine.

Jazz Correia : elle montre son corps sans filtre après ses 3 grossesses

Finalement, la maman de Chelsea, Cayden et London, confiait avoir fini par accepter son corps de maman. Et dans une récente story Instagram, elle a même dévoilé les traces qu’elle en a gardées, sans filtre.

En maillot de bain dans sa salle de bain, celle qui faisait tomber le haut sur les réseaux sociaux se filme sous toutes les coutures. Elle dévoile d’abord son bras sur lequel on peut observer une dépigmentation de la peau. « Oui et je le vis bien« , écrit-elle en légende. Puis, elle dévoile son ventre sur lequel on peut voir les cicatrices et les traces de ses grossesses précédentes. « J’ai des marques de maman, ça aussi je le vit bien », écrit-elle. Voilà qui devrait faire du bien aux jeunes femmes dans la même situation.