Slimane : ‘Reste avec nous’ il s’exprime sur les problèmes de santé de sa fille

Slimane revient sur son rôle de papa

Révélé dans The Voice, Slimane n’a pas dit son dernier mot. Dans son nouvel album album, intitulé Chroniques d’un cupidon, le chanteur fait tomber les masques. Et pour cause : il avoue être un fan inconditionnel de l’amour. « Je suis un amoureux ! Je suis un amoureux de la vie, des gens, de ma famille…« , a-t-il confié à Thomas Sotto et Julia Vignali, sur le plateau de Télématin.

À mesure que le temps passe, Slimane évolue, se construit, avance. C’est ainsi qu’il a compris que la base de tout était – selon lui – l’amour. « J’ai passé la trentaine, je me suis posé pour me demander ce qui me caractérisait le plus et je crois que c’était ça. J’avais envie de raconter l’amour qui se passe bien, l’amour qui fait mal et aussi l’amour qui reste tout le temps, indélébile. Celui de la famille, de ma fille, que je viens d’avoir, c’était toutes ces formes d’amour dont je voulais parler« , a expliqué celui qui est apparu aux côtés d’Ayem Nour dans son clip.

Slimane ouvre son coeur

C’est justement sur le plateau de Télématin que Slimane a parlé de sa fille. Il a notamment avoué que la chanson Des milliers de je t’aime était en fait consacrée à la petite Esmeralda. Elle qui est née prématurément et qui a su chambouler la vie de son papa. D’ailleurs, ce dernier est revenu sur ses problèmes de santé.

Julia Vignali lui a alors demandé : « Vous avez eu peur de la perdre ? ». Slimane s’est livré à coeur ouvert : « Oui j’ai eu peur. Pour le coup, je parle du petit cœur à la traîne, parce que son cœur avait du mal à battre correctement, elle avait du mal à se nourrir, etc. J’avais juste envie de lui dire : « reste avec nous, je vais t’aimer tout ce que je peux t’aimer ! T’inquiète pas, je vais être fort à ta place, je vais tout faire à ta place. » Pour Télé-Loisirs, il avait confié avoir compris ce que signifiait la peur : « J’ai peur de la perdre depuis que je suis papa. J’ai compris le mot ‘peur’ en ayant un enfant. Avant, je n’avais pas peur de la m*rt. Aujourd’hui, je me pose des questions ».

 

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